• Parlons en » Titres à l'écoute, demandez ici
Reprise du message précédent
Dommage que Buddy Whittington n'ait pas su rebondir après la dissolution des Bluesbreakers par Mayall.
Ce mec là avait un potentiel indéniable à la guitare comme au chant. Depuis il se contente de tourner gentiment dans son Texas natal et, de temps à autre, au Royaume-Uni.
Tout l'inverse de Walter Trout qui, après ses années Bluesbreakers, Canned Heat et... sa greffe du foie, a su s'imposer comme l'un des leaders du Blues-Rock actuel.
Edité par claude Le 08/12/2020 à 11h34
Dommage que Buddy Whittington n'ait pas su rebondir après la dissolution des Bluesbreakers par Mayall.
Ce mec là avait un potentiel indéniable à la guitare comme au chant. Depuis il se contente de tourner gentiment dans son Texas natal et, de temps à autre, au Royaume-Uni.
Tout l'inverse de Walter Trout qui, après ses années Bluesbreakers, Canned Heat et... sa greffe du foie, a su s'imposer comme l'un des leaders du Blues-Rock actuel.
Edité par claude Le 08/12/2020 à 11h34
Essentially John Mayall est un Box Set 5 CDs produit par Eagle Records en 2006 et contenant 5 galettes :
John Mayall & The Bluesbreakers - Padlock On The Blues
John Mayall & Friends - Along For The Ride
John Mayall & The Bluesbreakers – Stories
John Mayall & The Bluesbreakers & Friends – 70th Birthday Concert
John Mayall & The Bluesbrakers – Exclusive Live Rarities
L’ensemble est intéressant, mais pour qui possède déjà certains de ces disques c’est le dernier qui présente de l’intérêt. Il comporte 11 morceaux inédits sélectionnés par Mayall et provenant de ses archives.
Hideaway (Londres 1966) Avec E. Clapton
Tears In My Eyes (Londres 1966) Avec E. Clapton
The Stumble (Londres 1967) Avec P. Green
Double Trouble (Londres 1967) Avec P. Green
Help Me (Filmore NY 1969) Avec Mick Taylor
French Toast (Concarneau 1983) Avec Mick Taylor
Broken Wings (Szeged 1986) Avec Walter Trout et Coco Montoya
Racehorse Man (Montreux 1986) Avec Walter Trout et Coco Montoya
Tears Came Rolling Down (Tokyo 1990) Avec Coco Montoya
Undercover Agent For The Blues (Madrid 1994) Avec Buddy Whittington
Mail Order Mystics (Madrid 1994) Avec Buddy Whittington
Les quatre premiers titres dans leurs jus auraient mérité un minimum de remasterisassions.
Bonne écoute à tous.
John Mayall & The Bluesbreakers - Padlock On The Blues
John Mayall & Friends - Along For The Ride
John Mayall & The Bluesbreakers – Stories
John Mayall & The Bluesbreakers & Friends – 70th Birthday Concert
John Mayall & The Bluesbrakers – Exclusive Live Rarities
L’ensemble est intéressant, mais pour qui possède déjà certains de ces disques c’est le dernier qui présente de l’intérêt. Il comporte 11 morceaux inédits sélectionnés par Mayall et provenant de ses archives.
Hideaway (Londres 1966) Avec E. Clapton
Tears In My Eyes (Londres 1966) Avec E. Clapton
The Stumble (Londres 1967) Avec P. Green
Double Trouble (Londres 1967) Avec P. Green
Help Me (Filmore NY 1969) Avec Mick Taylor
French Toast (Concarneau 1983) Avec Mick Taylor
Broken Wings (Szeged 1986) Avec Walter Trout et Coco Montoya
Racehorse Man (Montreux 1986) Avec Walter Trout et Coco Montoya
Tears Came Rolling Down (Tokyo 1990) Avec Coco Montoya
Undercover Agent For The Blues (Madrid 1994) Avec Buddy Whittington
Mail Order Mystics (Madrid 1994) Avec Buddy Whittington
Les quatre premiers titres dans leurs jus auraient mérité un minimum de remasterisassions.
Bonne écoute à tous.
Le très doué texan Buddy Whyttington vient d’intégrer les Bluesbreakers de Mayall lorsque celui-ci sort "Spinning Coin" en 1995.
Un album de toute beauté tout comme le précédent "Wake-Up Call"
Onze titres représentatifs du genre British Blues à qui Mayall décerne le titre de pères à Alexis Korner et Cyril Davies.
When The Devil Starts Crying
Spinning Coin
Ain't No Brakeman
Double Life Feelings
Run
What Passes For Love
Fan The Flames
Voodoo Music
Long Story Short
No Big Hurry
Remember This
Le 24 Février 1995 dans les colonnes de Libération J. Mayall répond aux questions de Serge Loupien.
Avez-vous un album favori ?
« Le dernier bien sûr, Spinning Coin, parce qu'il témoigne de mon travail actuel. Les autres me sont également précieux, parce qu'ils représentent tous une période particulière de ma vie, un peu comme un journal musical. J'ai fait récemment une émission de radio à Londres. Le deejay a passé un titre de l'album des Bluesbreakers avec Clapton, puis un extrait de Wake Up Call qui date de 1992. Tous deux sonnaient comme s'ils avaient été enregistrés hier »
Le fait qu’Éric Clapton ait quitté les Yardbirds pour vous rejoindre a-t-il eu une incidence sur votre succès ?
« Assurément. L'association avec Eric Clapton a constitué une étape importante au niveau de la commercialisation de ma musique. Il a été le premier musicien britannique à posséder à ce point le feeling du blues. C'est d'ailleurs amusant de noter aujourd'hui l'audience massive dont bénéficie son dernier album. Ce qui démontre à quel point le blues est intégré dans la musique populaire »
Vous n'êtes pas un peu amer parfois, de son succès ?
« J'ai toujours eu une liberté de création totale, je vis comme j'ai choisi de le faire, je ne vois pas pourquoi je serais amer de quoi que ce soit. Je suis au contraire ravi quand Eric Clapton vend autant d'album de blues. Quand Stevie Ray Vaughan ou Bonnie Raitt obtiennent un numéro un, ça rejaillit sur nous tous. Nous sommes une communauté du blues, nous avons le sentiment de faire partie d'une même équipe »
Un album de toute beauté tout comme le précédent "Wake-Up Call"
Onze titres représentatifs du genre British Blues à qui Mayall décerne le titre de pères à Alexis Korner et Cyril Davies.
When The Devil Starts Crying
Spinning Coin
Ain't No Brakeman
Double Life Feelings
Run
What Passes For Love
Fan The Flames
Voodoo Music
Long Story Short
No Big Hurry
Remember This
Le 24 Février 1995 dans les colonnes de Libération J. Mayall répond aux questions de Serge Loupien.
Avez-vous un album favori ?
« Le dernier bien sûr, Spinning Coin, parce qu'il témoigne de mon travail actuel. Les autres me sont également précieux, parce qu'ils représentent tous une période particulière de ma vie, un peu comme un journal musical. J'ai fait récemment une émission de radio à Londres. Le deejay a passé un titre de l'album des Bluesbreakers avec Clapton, puis un extrait de Wake Up Call qui date de 1992. Tous deux sonnaient comme s'ils avaient été enregistrés hier »
Le fait qu’Éric Clapton ait quitté les Yardbirds pour vous rejoindre a-t-il eu une incidence sur votre succès ?
« Assurément. L'association avec Eric Clapton a constitué une étape importante au niveau de la commercialisation de ma musique. Il a été le premier musicien britannique à posséder à ce point le feeling du blues. C'est d'ailleurs amusant de noter aujourd'hui l'audience massive dont bénéficie son dernier album. Ce qui démontre à quel point le blues est intégré dans la musique populaire »
Vous n'êtes pas un peu amer parfois, de son succès ?
« J'ai toujours eu une liberté de création totale, je vis comme j'ai choisi de le faire, je ne vois pas pourquoi je serais amer de quoi que ce soit. Je suis au contraire ravi quand Eric Clapton vend autant d'album de blues. Quand Stevie Ray Vaughan ou Bonnie Raitt obtiennent un numéro un, ça rejaillit sur nous tous. Nous sommes une communauté du blues, nous avons le sentiment de faire partie d'une même équipe »
Les banques ferment tous les jours
Et les récessions reviennent
Une dépression comme dans les années 20
Avec tous les gens qui crient de douleur
Nous avons des moments difficiles devant nous
Et nous ne savons tout simplement pas qui blâmer
C'est dur de gagner sa vie
Lorsque les emplois deviennent rares et difficiles à trouver
Nous pourrions faire avec un plan pour nous guider
Pour nous aider à sortir de tout ce gâchis
Nous avons des moments difficiles à venir maintenant les gens
Mais nous devons tous apprendre à marcher sur cette ligne
Des familles qui perdent espoir
Alors maintenant ils sont obligés de changer leurs habitudes
Lutter dur pour s'en sortir
Et essayez de trouver n'importe quel ancien emploi qui paie
Des moments difficiles sont à venir pour nous maintenant
Mais nous nous accrochons à des jours meilleurs
Le monde entier est en difficulté
Mais nous recherchons tous ce rare espoir
Ouais nous pouvons avoir de gros ennuis
Mais dans le passé nous avons trouvé un moyen de faire face
Parce que dans les moments difficiles nous nous rassemblons
Je vais remonter cette pente tremblante
Vous venez de lire les paroles de la chanson "Tough Times Ahead" qui figure sur le CD "Tough" de John Mayall paru en 2009 au lendemain de la crise monétaire de 2008.
Dix ans ont passé et cette chanson pour une autre raison est malheureusement encore dans l’air du temps.
Sur cet opus Mayall est l’auteur de seulement trois titres, il y joue aussi "Playing With A Loosing Hand" de Walter Trout parti l’année précédente et remplacé par un autre guitariste texan Rocky Athas qui s’en tire plutôt bien.
Sur le livret un court commentaire accompagne chaque titre.
Nothing To Do With Love
Just What You're Looking For
Playing With A Losing Hand
An Eye For An Eye
How Far Down
Train To My Heart
Slow Train To Nowhere
Un slow blues écrit par Mayall, cette pièce autobiographique parle de ses vieux jours de fête et de boisson. Il déclare qu'il a réalisé que ce n'était pas la réponse à la vie.
Numbers Down
That Good Old Rockin' Blues
Écrit par John Mayall un rocke tout-en-un nous donne une pause à ce stade du set. Mayall ne s'excuse pas de ce qu'il pense des diverses tendances de la musique contemporaine.
Tough Times Ahead
Une chanson de blues lent et sale de John Mayall faisant des commentaires sur la situation actuelle de l'économie mondiale.
The Sum Of Something
Et les récessions reviennent
Une dépression comme dans les années 20
Avec tous les gens qui crient de douleur
Nous avons des moments difficiles devant nous
Et nous ne savons tout simplement pas qui blâmer
C'est dur de gagner sa vie
Lorsque les emplois deviennent rares et difficiles à trouver
Nous pourrions faire avec un plan pour nous guider
Pour nous aider à sortir de tout ce gâchis
Nous avons des moments difficiles à venir maintenant les gens
Mais nous devons tous apprendre à marcher sur cette ligne
Des familles qui perdent espoir
Alors maintenant ils sont obligés de changer leurs habitudes
Lutter dur pour s'en sortir
Et essayez de trouver n'importe quel ancien emploi qui paie
Des moments difficiles sont à venir pour nous maintenant
Mais nous nous accrochons à des jours meilleurs
Le monde entier est en difficulté
Mais nous recherchons tous ce rare espoir
Ouais nous pouvons avoir de gros ennuis
Mais dans le passé nous avons trouvé un moyen de faire face
Parce que dans les moments difficiles nous nous rassemblons
Je vais remonter cette pente tremblante
Vous venez de lire les paroles de la chanson "Tough Times Ahead" qui figure sur le CD "Tough" de John Mayall paru en 2009 au lendemain de la crise monétaire de 2008.
Dix ans ont passé et cette chanson pour une autre raison est malheureusement encore dans l’air du temps.
Sur cet opus Mayall est l’auteur de seulement trois titres, il y joue aussi "Playing With A Loosing Hand" de Walter Trout parti l’année précédente et remplacé par un autre guitariste texan Rocky Athas qui s’en tire plutôt bien.
Sur le livret un court commentaire accompagne chaque titre.
Nothing To Do With Love
Just What You're Looking For
Playing With A Losing Hand
An Eye For An Eye
How Far Down
Train To My Heart
Slow Train To Nowhere
Un slow blues écrit par Mayall, cette pièce autobiographique parle de ses vieux jours de fête et de boisson. Il déclare qu'il a réalisé que ce n'était pas la réponse à la vie.
Numbers Down
That Good Old Rockin' Blues
Écrit par John Mayall un rocke tout-en-un nous donne une pause à ce stade du set. Mayall ne s'excuse pas de ce qu'il pense des diverses tendances de la musique contemporaine.
Tough Times Ahead
Une chanson de blues lent et sale de John Mayall faisant des commentaires sur la situation actuelle de l'économie mondiale.
The Sum Of Something
Le plus étrange dans cette histoire c'est que Rocky Athas ressemble physiquement beaucoup à son prédécesseur, Walter Trout. il s'en éloigne par contre au niveau de ses influences et de sa technique.
Pour la petite histoire, la choriste dans “That Good Old Rockin' Blues” n'est autre, vous l'aurez deviné, que la ravissante épouse de Mayall, et ce jusqu'en 2011, année de leur divorce.
Pour la petite histoire, la choriste dans “That Good Old Rockin' Blues” n'est autre, vous l'aurez deviné, que la ravissante épouse de Mayall, et ce jusqu'en 2011, année de leur divorce.
Le titre de ce CD empreint de nostalgie aurait pu être "All my heroes” ou “Tribute to all my heroes” Mayall y chante les louanges de sa mère, de sa compagne du moment, des jeunes soldats anglais partis combattre dans les tranchées du Nord de la France en 1914 et sur deux chansons de quelques bluesmen qui ont jalonné sa vie.
En fait le titre de ce 41ème opus est "Blues For The Lost Days" emprunté à la piste 3.
Dead City
Stone Cold Deal
All Those Heroes
Blues For The Lost Days
Trenches
One In A Million
How Can You Live Like That
Some Other Day
I Don't Mind
It Ain't Safe
Sen-Say-Shun
You Are For Real
En fait le titre de ce 41ème opus est "Blues For The Lost Days" emprunté à la piste 3.
Dead City
Stone Cold Deal
All Those Heroes
Blues For The Lost Days
Trenches
One In A Million
How Can You Live Like That
Some Other Day
I Don't Mind
It Ain't Safe
Sen-Say-Shun
You Are For Real
Superbe titre comme Mayall a su en composer de temps à autre...
”From a home in the country
with the blues on my wind-up gramophone...
We had Freddie King, Sonny Boy and Hendrix
and they'd be sitting in till the break of dawn sweating at the allnight Flamingo...
So many good times, so many music...”
”From a home in the country
with the blues on my wind-up gramophone...
We had Freddie King, Sonny Boy and Hendrix
and they'd be sitting in till the break of dawn sweating at the allnight Flamingo...
So many good times, so many music...”
Pour terminer cette série consacrée à John Mayall je vous propose d’écouter trois titres du CD "Wake Up Call" sur lequel des invités prestigieux sont venus épauler les Bluesbreakers.
Mail Order Mystics
Maydell
I Could Cry (avec Buddy Guy)
Wake Up Call (avec Mick Taylor et Mavis Staples)
Loaded Dice
Undercover Agent for the Blues
Light the Fuse (avec Albert Collins)
Anything I Can Say
Nature's Disappearing
I'm a Sucker for Love (avec Albert Collins)
Not at Home (avec Mick Taylor)
Ain't That Lovin' You Baby
Mail Order Mystics
Maydell
I Could Cry (avec Buddy Guy)
Wake Up Call (avec Mick Taylor et Mavis Staples)
Loaded Dice
Undercover Agent for the Blues
Light the Fuse (avec Albert Collins)
Anything I Can Say
Nature's Disappearing
I'm a Sucker for Love (avec Albert Collins)
Not at Home (avec Mick Taylor)
Ain't That Lovin' You Baby
Quoi de plus normal que d’écouter Cream après John Mayall, cela va dans le sens chronologique de l’histoire claptonienne.
Pour qui découvrirait Cream, le coffret "Those Were The Days" est idéal. Sur 4 CD il présente un condensé de 46 titres studios et 17 lives.
Pour ceux déjà bons connaisseurs mais qui voudraient en découvrir encore il est bon de savoir que 5 inédits et 6 démos y figurent aussi.
Les inédits ;
Une version studio de Lawdy Mama
Une version alternative de Passing The Time
Des versions lives de N.S.U., Toad et Sunshine Of Your Love
Les démos ;
You Make Me Feel
We’re Going Wrong
Hey Now Princess
Swlabr
Weird Of Hermiston
The Clearout
Et "Falstaff Beer Commercial" un Spot radio publicitaire enregistré en 1967 pour la Falstaff Brewing Corporation qui était une grande brasserie américaine située à St. Louis dans le Missouri.
Pour qui découvrirait Cream, le coffret "Those Were The Days" est idéal. Sur 4 CD il présente un condensé de 46 titres studios et 17 lives.
Pour ceux déjà bons connaisseurs mais qui voudraient en découvrir encore il est bon de savoir que 5 inédits et 6 démos y figurent aussi.
Les inédits ;
Une version studio de Lawdy Mama
Une version alternative de Passing The Time
Des versions lives de N.S.U., Toad et Sunshine Of Your Love
Les démos ;
You Make Me Feel
We’re Going Wrong
Hey Now Princess
Swlabr
Weird Of Hermiston
The Clearout
Et "Falstaff Beer Commercial" un Spot radio publicitaire enregistré en 1967 pour la Falstaff Brewing Corporation qui était une grande brasserie américaine située à St. Louis dans le Missouri.
Les sessions pour "Slowhand" se sont déroulés du 2 au 25 Mai 1977.
Neuf Chansons sont livrées sur le LP original et sa réplique CD alors que 6 autres sont sur bandes restées au chaud pour un temps dans un coffre en mumétal.
Peu à peu elles sont rendues disponibles aux amateurs.
Alberta sur le CD 1 “Eric Clapton Blues” (Studio) – Eric Clapton Blues – Polydor (547 178-2) en 1999.
Looking At The Rain
Greyhound Bus
Stars, Strays And Ashtrays
Dumb Waiter, Drawning On Dry Land et Be Bop And Hola restent inédites.
Neuf Chansons sont livrées sur le LP original et sa réplique CD alors que 6 autres sont sur bandes restées au chaud pour un temps dans un coffre en mumétal.
Peu à peu elles sont rendues disponibles aux amateurs.
Alberta sur le CD 1 “Eric Clapton Blues” (Studio) – Eric Clapton Blues – Polydor (547 178-2) en 1999.
Looking At The Rain
Greyhound Bus
Stars, Strays And Ashtrays
Dumb Waiter, Drawning On Dry Land et Be Bop And Hola restent inédites.
Ce n'est pas de la pluie qui tombe ce matin mais à l'écoute de ces chansons la mélancolie s'installe dans ma tête. En fait, je trouve notamment des réminiscences très "Dylanniennes" dans la musique, sans doute du fait de la présence de l'harmonica à certains moments et du toucher de cordes du regretté Carl Radle.
Mon choix d'écoute pour la journée est fait, tout en travaillant....mais je vous fais grâce de l'objet de mes travaux.....Merci Claptonholic et bonne journée à tous. Prenez soin de vous.
Mon choix d'écoute pour la journée est fait, tout en travaillant....mais je vous fais grâce de l'objet de mes travaux.....Merci Claptonholic et bonne journée à tous. Prenez soin de vous.
Du 7 Décembre 1963 au 13 Mars 1964 Alek Miller, compositeur, chanteur et harmoniciste, plus connu sous l’un de ses nombreux pseudonymes ; Sonny Boy Williamson II, II par ce qu’avant lui John Lee Curtis Williamson lui aussi compositeur, chanteur et harmoniciste se produisait en tant que Sonny Boy Williamson.
Donc, en 1963 ouvrant la voie à d’autres bluesmen, Sonny Boy Williamson II entame une tournée européenne alors que l’Angleterre est en plein British blues boom.
Pour une série de douze concerts, les Yardbirds font la première partie de ses concerts et reviennent l'accompagner après son set.
Le 8 Décembre ils sont au Crawdaddy Club de Richmond et jouent :
Bye Bye Bird
Mister Downchild
The River Rhine
23 Hours Too Long
A Lost Care
Pontiac Blues
Take It Easy Baby
Out On The Water Coast
Western Arizona
Do The Weston (Version alternative de Western Arizona)
Slow Walk
Highway 69
Hey Little Cabin
Honey In Your Hips
Il enregistrera aussi avec les Animals.
Donc, en 1963 ouvrant la voie à d’autres bluesmen, Sonny Boy Williamson II entame une tournée européenne alors que l’Angleterre est en plein British blues boom.
Pour une série de douze concerts, les Yardbirds font la première partie de ses concerts et reviennent l'accompagner après son set.
Le 8 Décembre ils sont au Crawdaddy Club de Richmond et jouent :
Bye Bye Bird
Mister Downchild
The River Rhine
23 Hours Too Long
A Lost Care
Pontiac Blues
Take It Easy Baby
Out On The Water Coast
Western Arizona
Do The Weston (Version alternative de Western Arizona)
Slow Walk
Highway 69
Hey Little Cabin
Honey In Your Hips
Il enregistrera aussi avec les Animals.
Répondre
Vous n'êtes pas autorisé à écrire dans cette catégorie