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Reprise du message précédent
Je savais ce triste épisode tout comme son parcours musical : je pense qu'en dehors de l'alcool et autres abus, il y avait sans doute une faille dans son cerveau et son obsession ne s'éteindra qu'à sa mort....
Et Phil Spector, drôle de parcours aussi
Je savais ce triste épisode tout comme son parcours musical : je pense qu'en dehors de l'alcool et autres abus, il y avait sans doute une faille dans son cerveau et son obsession ne s'éteindra qu'à sa mort....
Et Phil Spector, drôle de parcours aussi
Moi aussi Claude j'aime bien ce titre. Un regret que ce super groupe (The Dirty Mac) n'ait joué que deux titres.
Le très bon Yer Blues et Whole Lotta Yoko où la présence d'Ivry Gitlis est saccagée par les grondements, grincements, vociférations et borborygmes de Yoko Ono.
Je ne propose pas ce sinistre de peur de fausser la lentille du lecteur.
Ce titre a été supprimé mais peut être réactivé à votre demande.
Le très bon Yer Blues et Whole Lotta Yoko où la présence d'Ivry Gitlis est saccagée par les grondements, grincements, vociférations et borborygmes de Yoko Ono.
Je ne propose pas ce sinistre de peur de fausser la lentille du lecteur.
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Aujourd'hui spécial Japon 2000, deux titres rares.
Losing Hand – Bonus sur seulement l'édition japonaise de l'album Reptile.
Let Me Love You ne paraît que sur un single japonais. Enregistré lors des sessions pour Riding With The King.
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Losing Hand – Bonus sur seulement l'édition japonaise de l'album Reptile.
Let Me Love You ne paraît que sur un single japonais. Enregistré lors des sessions pour Riding With The King.
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Cette semaine deux titres de Billy Preston
Sur un single de 1969 "That's The Way God Planned It"
That's The Way God Planned It et Do What You Want To
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Sur un single de 1969 "That's The Way God Planned It"
That's The Way God Planned It et Do What You Want To
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Clapton s'est essayé à pratiquement tous les styles musicaux, en 2003 c'est avec The Crusaders qu'il se confronte au Jazz.
1- Sur le titre "Rural Renewal"
2- Sur "Creepin'"
Les deux titres sont composés par Joe Sample
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1- Sur le titre "Rural Renewal"
2- Sur "Creepin'"
Les deux titres sont composés par Joe Sample
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Sans doute avez-vous tous le DVD du concert de Blind Faith à Hyde Park le 7 Juin 1969, édité chez Sanctuary (SVEF0090) en 2005.
Je crois bien que l'un d'entre nous était à ce concert !
Well All Right
Sea Of Joy
Sleeping In The Ground
Under My Thumb
Can't Find My Way Home
Do What You Like
In The Presence Of The Lord
Means To An End
Had To Cry Today
Sleeping In The Ground et Under My Thumb ont été révélés en 1995 sur un coffret 4 CD Antologie de Steve Winwood "The Finer Things"
Ce coffret contient aussi " I Want To Know" et "Crossroads" avec The Powerhouse, Had To Cry Today, Can't Find My Way Home (electric version), Sea Of Joy et Sleepin' In The Ground (live)
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Je crois bien que l'un d'entre nous était à ce concert !
Well All Right
Sea Of Joy
Sleeping In The Ground
Under My Thumb
Can't Find My Way Home
Do What You Like
In The Presence Of The Lord
Means To An End
Had To Cry Today
Sleeping In The Ground et Under My Thumb ont été révélés en 1995 sur un coffret 4 CD Antologie de Steve Winwood "The Finer Things"
Ce coffret contient aussi " I Want To Know" et "Crossroads" avec The Powerhouse, Had To Cry Today, Can't Find My Way Home (electric version), Sea Of Joy et Sleepin' In The Ground (live)
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Non, je n'ai pas ce DVD mais je n'ai pas de regret d'une part parce que j'ai lu tout et son contraire sur l'attitude d'Éric à ce concert--pour certains en retrait au point de sembler détaché de ce qui se passe-, d'autre part, ce n'est pas ma période préférée. Je reconnais à Ginger Baker un jeu hors pair mais une personnalité caractérielle à souhait.
Edité par tayane Le 08/04/2019 à 10h23
Edité par tayane Le 08/04/2019 à 10h23
Eh oui, j'y étais, assis sur l'herbe de la “cuvette” de Hyde Park face à l'échafaudage et son estrade en hauteur servant de scène, et ce dès 10 AM comme disent nos amis britons.
Le soleil était de la fête ainsi qu'un vent tourbillonnant assez désagréable par moments. Une longue attente à somnoler, bouquiner et à regarder la cuvette face au lac se remplir petit à petit (la scène durant ces concerts de l'été 1969 - dont les Stones un mois après - n'était pas du tout positionnée comme depuis quelques années lors des concerts de Clapton, mais le long du Serpentine et donc du lac). Mais bon, il n'était pas vraiment désagréable de patienter au son des petits oiseaux pour assister à ce “Big Name Act”, ou concert du siècle, comme l'avait surnommé la presse les jours précédents. On allait voir ce qu'on allait voir !
A 14h30 pétantes apparut sur scène The Third Ear Band qui n'eut aucun mal à hypnotiser la foule, déjà passablement endormie après cette longue attente, avec leur violoncelle. Puis ce fut le tour de The Edgar Broughton Band qui eut le mérite de nous réveiller avec son rock psychédélique teinté de blues. Mais bon, pas de quoi grimper aux arbres. Vint le tour de Richie Havens, égal à lui même (pas vraiment ma tasse de thé) suivit du troubadour-heroe de l'époque, à savoir Donovan. L'assistance daigna se lever à son apparition et chanta avec lui (enfin pas tous, seulement ceux qui avaient été bassinés à longueur de journée par les radios pirates et la BBC) son tube “Hey Gyp”. A noter qu'aucune Cadillac ni Ford Mustang ne fut offertes à la gente féminine à l'issue de son set... somme toutes assez convaincant.
Puis vint le grand moment, l'arrivée sur scène à 17h de nos quatre lascars, les plus grands, les plus forts, les plus beaux du siècle, capables en un tournemain de nous faire oublier Cream à jamais. Tu parles Charles !...
Hormis un bon “It's All Rigfht” en guise d'introduction, suffisant pour ranimer la flamme de quelques “idiot dancers”, il parut rapidement évident que “The Biggest Supergroup” du moment n'en était qu'au stade des répétitions avortées. Et la plupart des fans se rassit tout de go pour peut-être essayer de comprendre où ils voulaient réellement en venir. Pas vraiment prêts à jouer dans les plates-bandes de Cream ou même de Traffic les p'tits gars. Ginger Baker essaya bien par moments de faire monter la mayonnaise, de ranimer la flamme, mais sans aucune réponse fiable de la part de ses acolytes et principalement de Clapton qui, avec sa Télécaster à manche de Strat, paraissait totalement sur une autre planète (laquelle ?) pour ne pas dire aux abonnés absents. Quelques beaux riffs et “glissades” de manche certes et pis... c'est tout.
Winwood avait beau essayer (pour pas grand chose) de s'époumoner dans son micro, rien n'y fit et, après quelques 50 ou 55 minutes de ce que je ne fus pas loin de qualifier d'escroquerie (ouais bon, je sais, c'était un concert gratuit donc pourquoi se plaindre ?), les afficionados, éreintés à force de hurler “Cream, Cream !”, se levèrent gentiment et quittèrent les lieux... moi avec. La messe était dite, mal dite. Amen !
Edité par claude Le 08/04/2019 à 18h39
Le soleil était de la fête ainsi qu'un vent tourbillonnant assez désagréable par moments. Une longue attente à somnoler, bouquiner et à regarder la cuvette face au lac se remplir petit à petit (la scène durant ces concerts de l'été 1969 - dont les Stones un mois après - n'était pas du tout positionnée comme depuis quelques années lors des concerts de Clapton, mais le long du Serpentine et donc du lac). Mais bon, il n'était pas vraiment désagréable de patienter au son des petits oiseaux pour assister à ce “Big Name Act”, ou concert du siècle, comme l'avait surnommé la presse les jours précédents. On allait voir ce qu'on allait voir !
A 14h30 pétantes apparut sur scène The Third Ear Band qui n'eut aucun mal à hypnotiser la foule, déjà passablement endormie après cette longue attente, avec leur violoncelle. Puis ce fut le tour de The Edgar Broughton Band qui eut le mérite de nous réveiller avec son rock psychédélique teinté de blues. Mais bon, pas de quoi grimper aux arbres. Vint le tour de Richie Havens, égal à lui même (pas vraiment ma tasse de thé) suivit du troubadour-heroe de l'époque, à savoir Donovan. L'assistance daigna se lever à son apparition et chanta avec lui (enfin pas tous, seulement ceux qui avaient été bassinés à longueur de journée par les radios pirates et la BBC) son tube “Hey Gyp”. A noter qu'aucune Cadillac ni Ford Mustang ne fut offertes à la gente féminine à l'issue de son set... somme toutes assez convaincant.
Puis vint le grand moment, l'arrivée sur scène à 17h de nos quatre lascars, les plus grands, les plus forts, les plus beaux du siècle, capables en un tournemain de nous faire oublier Cream à jamais. Tu parles Charles !...
Hormis un bon “It's All Rigfht” en guise d'introduction, suffisant pour ranimer la flamme de quelques “idiot dancers”, il parut rapidement évident que “The Biggest Supergroup” du moment n'en était qu'au stade des répétitions avortées. Et la plupart des fans se rassit tout de go pour peut-être essayer de comprendre où ils voulaient réellement en venir. Pas vraiment prêts à jouer dans les plates-bandes de Cream ou même de Traffic les p'tits gars. Ginger Baker essaya bien par moments de faire monter la mayonnaise, de ranimer la flamme, mais sans aucune réponse fiable de la part de ses acolytes et principalement de Clapton qui, avec sa Télécaster à manche de Strat, paraissait totalement sur une autre planète (laquelle ?) pour ne pas dire aux abonnés absents. Quelques beaux riffs et “glissades” de manche certes et pis... c'est tout.
Winwood avait beau essayer (pour pas grand chose) de s'époumoner dans son micro, rien n'y fit et, après quelques 50 ou 55 minutes de ce que je ne fus pas loin de qualifier d'escroquerie (ouais bon, je sais, c'était un concert gratuit donc pourquoi se plaindre ?), les afficionados, éreintés à force de hurler “Cream, Cream !”, se levèrent gentiment et quittèrent les lieux... moi avec. La messe était dite, mal dite. Amen !
Edité par claude Le 08/04/2019 à 18h39
Les 27 et 28 Août aux Town House Studios de Londres Clapton participe avec Bob Dylan à quelques titres dont la moitié sont encore inédits.
Bob Dylan Guitar - Vocals
Eric Clapton - Guitar
Ron Wood - Bass
Henry Spinetti - Drums
The Usual
Ride This Train (Inédit)
Had A Dream About You Baby*
Old Five And Dimer (Like Me) (Inédit)
Night After Night*
To Fall In Love With You (Inédit)
Ces titres ont été supprimés mais peuvent être réactivés à votre demande.
Des overdubs et des remixages ont été réalisés plus tard à Los Angeles sans la participation d’Eric.
"The Usual" et "Night After Night" avec des overdubs de cuivres et un remixage et "Had A Dream About You Baby" apparaissent en 1987 sur la bande originale de The Heart Of Fire (CBS 460001 2).
Assez courant à la vente en LP mais plus rare et cher en CD.
Un autre mixage de "Had A Dream About You Baby" avec quelques échos au chant est réalisé en 1988 sur le CD de Dylan "Down In The Groove" (CBS 460267 2)
Bob Dylan Guitar - Vocals
Eric Clapton - Guitar
Ron Wood - Bass
Henry Spinetti - Drums
The Usual
Ride This Train (Inédit)
Had A Dream About You Baby*
Old Five And Dimer (Like Me) (Inédit)
Night After Night*
To Fall In Love With You (Inédit)
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Des overdubs et des remixages ont été réalisés plus tard à Los Angeles sans la participation d’Eric.
"The Usual" et "Night After Night" avec des overdubs de cuivres et un remixage et "Had A Dream About You Baby" apparaissent en 1987 sur la bande originale de The Heart Of Fire (CBS 460001 2).
Assez courant à la vente en LP mais plus rare et cher en CD.
Un autre mixage de "Had A Dream About You Baby" avec quelques échos au chant est réalisé en 1988 sur le CD de Dylan "Down In The Groove" (CBS 460267 2)
Jamie Oldaker a quelquefois tenu la batterie derrière E.C. En 2005 il sort un CD sur lequel Clapton joue sur deux titres.
Wait Till Daddy Gets Home et Positively
Wait Till Daddy Gets Home et Positively
Le compositeur de “Positively” n'est autre que Willis Alan Ramsey, un guitariste-chanteur texan de country, country-rock et de folk. Il interprète ce morceau avec Clapton sur “Mad Dogs & Okies”.
C'est de la Walkin'Music typique du Texas.
Edité par claude Le 25/04/2019 à 19h39
C'est de la Walkin'Music typique du Texas.
Edité par claude Le 25/04/2019 à 19h39
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