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Reprise du message précédent
Ta préférence personnelle me plaît beaucoup Dick.
Ne pas oublier que Buddy Guy a sorti récemment une pépite dont Jean-Claude s'est fait l'écho ici-même.
Pour moi, Freddie King reste le meilleur de tous. Une attaque pas possible, une voix incroyable. Je l'ai vu deux fois sur scène à Londres, accompagné par des jeunes british. C'était dément. Quel colosse, quelle énergie !
J'apprécie également Luther Allison. Sa voix puissante est superbe mais... son jeu manque parfois de profondeur, d'intensité.
Quant à Otis Rush, c'est effectivement l'un des tout meilleurs. Encore un gaucher flamboyant ! Pas étonnant que Mayall et consorts aient puisé dans sa discographie, comme dans celle de Freddie King d'ailleurs.
En réponse à Dub, le blues français vit sa petite vie, pas si mal que ça d'ailleurs, grâce à quelques cadors du circuit. D'ailleurs, je ne pense pas me tromper en disant qu'il existe certainement plus de groupes de blues en France qu'en Angleterre à l'heure actuelle.
Paul Personne était un très bon certes, mais il y a plusieurs années. Que fait-il maintenant, j'avoue l'ignorer.
Ta préférence personnelle me plaît beaucoup Dick.
Ne pas oublier que Buddy Guy a sorti récemment une pépite dont Jean-Claude s'est fait l'écho ici-même.
Pour moi, Freddie King reste le meilleur de tous. Une attaque pas possible, une voix incroyable. Je l'ai vu deux fois sur scène à Londres, accompagné par des jeunes british. C'était dément. Quel colosse, quelle énergie !
J'apprécie également Luther Allison. Sa voix puissante est superbe mais... son jeu manque parfois de profondeur, d'intensité.
Quant à Otis Rush, c'est effectivement l'un des tout meilleurs. Encore un gaucher flamboyant ! Pas étonnant que Mayall et consorts aient puisé dans sa discographie, comme dans celle de Freddie King d'ailleurs.
En réponse à Dub, le blues français vit sa petite vie, pas si mal que ça d'ailleurs, grâce à quelques cadors du circuit. D'ailleurs, je ne pense pas me tromper en disant qu'il existe certainement plus de groupes de blues en France qu'en Angleterre à l'heure actuelle.
Paul Personne était un très bon certes, mais il y a plusieurs années. Que fait-il maintenant, j'avoue l'ignorer.
Bonsoir tout le monde. Magnifique prose de Claude à propos de Mike Bloomfield. J'avais essayé de m'immerger dans l'album The live Adventure of Mike Bloomfield and Al Kooper à la fin des sixties, mais la platine était plus souvent sollicitée par Cream, Blind Faith and so on...Merci en tout cas pour la piqûre de rappel.
Guitariste préféré, telle est la question et vaste question indeed !!!
D'ailleurs, vu les réponses, la question devrait être "Quels sont vos guitaristes solistes préférés?" Carlos Santana avait déclaré (je cite de mémoire): La rythmique est la composante masculine de la musique, la mélodie, la composante féminine. Justement, Rythm guitar: Chuck Berry, Pete Townshend, Keith Richards - 3 monstres sacrés incontournables.
Guitaristes solistes - ceux qui me font ou qui m'ont fait poser un vinyl sur la platine:
Eric Clapton, évidemment, Jimi Hendrix, Duane Allman, Mick Taylor, Mark Knofler, Jimmy Page, Terry Kath, Carlos Santana, George Harrison, Rory Gallagher, Ritchie Blackmore pour les sixties, BB King, Freddie King pour les bluesman, sans oublier Stevie Ray Vaughan, James Honeyman-Scott (plus que C Hynde), Brian May, Prince... et la liste pourrait être encore plus longue.
A l'inverse, ceux qui sont vénérés pour lesquels je n'accroche pas: Frank Zappa, Jerry Garcia, Alvin Lee (même si, oui je sais, I'm going home, Woodstock).
Melody Maker en 1970, vote des lecteurs pour désigner les meilleurs guitaristes:
1/ Eric Clapton
2/ Jimmy Page
3/ Jimi Hendrix
4/ Frank Zappa
5/ Peter Green
6/ Alvin Lee
7/ Pete Townshend
8/ Rory Gallagher
9/ Ritchie Blackmore
10/ Hank B. Marvin
Guitariste préféré, telle est la question et vaste question indeed !!!
D'ailleurs, vu les réponses, la question devrait être "Quels sont vos guitaristes solistes préférés?" Carlos Santana avait déclaré (je cite de mémoire): La rythmique est la composante masculine de la musique, la mélodie, la composante féminine. Justement, Rythm guitar: Chuck Berry, Pete Townshend, Keith Richards - 3 monstres sacrés incontournables.
Guitaristes solistes - ceux qui me font ou qui m'ont fait poser un vinyl sur la platine:
Eric Clapton, évidemment, Jimi Hendrix, Duane Allman, Mick Taylor, Mark Knofler, Jimmy Page, Terry Kath, Carlos Santana, George Harrison, Rory Gallagher, Ritchie Blackmore pour les sixties, BB King, Freddie King pour les bluesman, sans oublier Stevie Ray Vaughan, James Honeyman-Scott (plus que C Hynde), Brian May, Prince... et la liste pourrait être encore plus longue.
A l'inverse, ceux qui sont vénérés pour lesquels je n'accroche pas: Frank Zappa, Jerry Garcia, Alvin Lee (même si, oui je sais, I'm going home, Woodstock).
Melody Maker en 1970, vote des lecteurs pour désigner les meilleurs guitaristes:
1/ Eric Clapton
2/ Jimmy Page
3/ Jimi Hendrix
4/ Frank Zappa
5/ Peter Green
6/ Alvin Lee
7/ Pete Townshend
8/ Rory Gallagher
9/ Ritchie Blackmore
10/ Hank B. Marvin
Ah oui, Alvin Lee, tout un programme. Un nerveux chronique qui semblait considérer que jouer le plus grand nombre de notes en un temps record était le privilège des plus doués !
Voir évoluer sur scène les Ten Years After n'était pas pour autant dénué d'intérêt, leur répertoire étant un savant mélange de blues, de rock et même de jazz, le tout trop souvent gâché par le jeu de guitare ultra-rapide de leur leader.
Mais c'est vrai que leur présence quasi hebdomadaire au Marquee durant la fin des sixties, permettait au moins de se détendre, d'occuper la soirée, dans l'attente d'une meilleure programmation.
Quant à Hank Marvin, son style reconnaissable entre mille, mélodieux à souhait, en a charmé plus d'un à la fin des années cinquante. Un son particulier, limpide, celui de sa Stratocaster, l'une des premières importées en Angleterre que Cliff Richard, qu'il accompagnait à l'époque avec ses Shadows, l'aida à acquérir (chez Fender directement). une Strat qui permit aux Shadows d'accumuler les titres à succès et d'acquérir une notoriété internationale.
A ce sujet, la Strat fit sa toute première apparition sur un écran de télé en France avec Buddy Holly qui, pour l'occasion, interprétait Peggy Sue. Clapton, de mémoire, cite d'ailleurs Buddy Holly et sa Fender mythique lorsqu'il évoque ses souvenirs d'adolescent.
Edité par claude Le 27/08/2019 à 11h10
Voir évoluer sur scène les Ten Years After n'était pas pour autant dénué d'intérêt, leur répertoire étant un savant mélange de blues, de rock et même de jazz, le tout trop souvent gâché par le jeu de guitare ultra-rapide de leur leader.
Mais c'est vrai que leur présence quasi hebdomadaire au Marquee durant la fin des sixties, permettait au moins de se détendre, d'occuper la soirée, dans l'attente d'une meilleure programmation.
Quant à Hank Marvin, son style reconnaissable entre mille, mélodieux à souhait, en a charmé plus d'un à la fin des années cinquante. Un son particulier, limpide, celui de sa Stratocaster, l'une des premières importées en Angleterre que Cliff Richard, qu'il accompagnait à l'époque avec ses Shadows, l'aida à acquérir (chez Fender directement). une Strat qui permit aux Shadows d'accumuler les titres à succès et d'acquérir une notoriété internationale.
A ce sujet, la Strat fit sa toute première apparition sur un écran de télé en France avec Buddy Holly qui, pour l'occasion, interprétait Peggy Sue. Clapton, de mémoire, cite d'ailleurs Buddy Holly et sa Fender mythique lorsqu'il évoque ses souvenirs d'adolescent.
Edité par claude Le 27/08/2019 à 11h10
Bonjour à tous,
Pour répondre à Claude :
Buddy GUY j’aime beaucoup les classiques de chez Chess Records et quelques publications d’album plus récentes.
Je me méfie juste du personnage qui a tendance à mon goût à vite partir en cacahuètes dans ses improvisations et à abuser de l’électronique active de sa jolie guitare à pois.
Je me souviens d’une soirée entre amis où j’avais mis en fond le dernier Crossroads Festival et tout le monde s’est retourné, le regard agacé, en réaction à l’intervention de Buddy ????
Après les gens ne connaissent pas spécialement Buddy GUY… nous, nous sommes des « spécialistes » du Blues et savons apprécier une carrière au-delà d’un concert, d’un album ou d’une période artistique.
Pour tout vous dire, je me suis fait il y a trois mois un petit plaisir en m’offrant deux vinyles d’albums modernes de Buddy : l’intimiste Blues Singer et surtout l’épouvantable, apocalyptique, hors-norme Sweet Tea.
Je ne connais pas le dernier Buddy GUY. Sur vos bons conseils, j’ai commencé à écouter les 3 premiers morceaux sur le chemin du boulot. J’ai été agréablement surpris mais je ne suis pas sûr que je m’offrirai un jour le vinyle ????.
Pour l’histoire des guitaristes / bluesman français : Bill DERAIME les gars ! Je connais assez bien son gratteux Mauro SERRI qui a œuvré aussi pour Eddy Mitchell et avant-même une collaboration avec un certain JJ MILTEAU.
Bill DERAIME c’est une voix et une guitare. Pas celle d’un guitar hero à la Duane ALLMAN ou Mick TAYLOR. Mais plus celle d’un artisan du Blues, d’un conteur et d’un chanteur.
Paul PERSONNE est un très bon guitariste de Blues façon « Les Paul » (normal pour Paul PERSONNE).
Bien à vous,
Dick
Pour répondre à Claude :
Buddy GUY j’aime beaucoup les classiques de chez Chess Records et quelques publications d’album plus récentes.
Je me méfie juste du personnage qui a tendance à mon goût à vite partir en cacahuètes dans ses improvisations et à abuser de l’électronique active de sa jolie guitare à pois.
Je me souviens d’une soirée entre amis où j’avais mis en fond le dernier Crossroads Festival et tout le monde s’est retourné, le regard agacé, en réaction à l’intervention de Buddy ????
Après les gens ne connaissent pas spécialement Buddy GUY… nous, nous sommes des « spécialistes » du Blues et savons apprécier une carrière au-delà d’un concert, d’un album ou d’une période artistique.
Pour tout vous dire, je me suis fait il y a trois mois un petit plaisir en m’offrant deux vinyles d’albums modernes de Buddy : l’intimiste Blues Singer et surtout l’épouvantable, apocalyptique, hors-norme Sweet Tea.
Je ne connais pas le dernier Buddy GUY. Sur vos bons conseils, j’ai commencé à écouter les 3 premiers morceaux sur le chemin du boulot. J’ai été agréablement surpris mais je ne suis pas sûr que je m’offrirai un jour le vinyle ????.
Pour l’histoire des guitaristes / bluesman français : Bill DERAIME les gars ! Je connais assez bien son gratteux Mauro SERRI qui a œuvré aussi pour Eddy Mitchell et avant-même une collaboration avec un certain JJ MILTEAU.
Bill DERAIME c’est une voix et une guitare. Pas celle d’un guitar hero à la Duane ALLMAN ou Mick TAYLOR. Mais plus celle d’un artisan du Blues, d’un conteur et d’un chanteur.
Paul PERSONNE est un très bon guitariste de Blues façon « Les Paul » (normal pour Paul PERSONNE).
Bien à vous,
Dick
Buddy Guy est, si je ne m'abuse, la seule légende du blues noir US de Chicago encore en vie. Autant donc profiter avant qu'il ne soit trop tard, de sa maîtrise de la Strat, qu'elle soit à pois blancs ou noirs.
Au fait, pourquoi ces pois omniprésents sur ses guitares ou ses chemises ?... Tout simplement parce que, à l'occasion d'un concert en France il y a fort longtemps, ce cher Buddy avait eu l'occasion d'applaudir Gilbert Bécaud lui aussi à l'affiche ! A l'issue de la soirée, il alla dans la loge de ce dernier pour le féliciter, sa prestation énergique notamment au piano lui ayant beaucoup plu et en profita pour admirer sa cravate à pois. C'est ainsi que peu après, il décida de décorer sa Strat de la même manière puis, plus tard, ses vêtements !
Un seul bémol avec lui, ses bavardages à n'en plus finir durant ses concerts, raison pour laquelle, après sa trop courte prestation au Paris Jazz Festival (au parc Floral) dans les années 90, j'ai décidé d'arrêter les frais.
Un sacré bonhomme qui tente de “faire le show”... et le clown et qui n'hésite pas durant ses concerts à jouer parmi le public. C'est sympa à condition qu'il n'ait pas abusé du rhum qu'il affectionne en coulisses. A tel point qu'un soir, au RAH, après avoir fait hurler sa guitare parmi les fans de l'orchestre, il emprunta un couloir pour rejoindre la scène et ne fut pas foutu de retrouver son chemin !
Quant à Bill Deraime, Dick, je suis d'accord avec toi. Je l'ai apprécié sur scène au début des années 80 et, avec Patrick Verbeke, je me suis dit que le blues français avait enfin trouvé ses dignes représentants. Ceci après qu'un certain Alan Jack, chanteur et organiste (Hammond), un copain à l'époque (Jack Braud à l'état civil), ait entamé sa croisade durant les années soixante en région tourangelle, après un long séjour à Londres ou il croisa le fer avec la bande à Graham Bond, Long John Baldry inclus. Le John Mayall français, c'était lui. Verbeke, et bien d'autres, fit partie de sa bande durant un certain temps. Il nous quitta malheureusement, début 90, victime comme beaucoup d'autres d'abus en tout genre.
Au fait, pourquoi ces pois omniprésents sur ses guitares ou ses chemises ?... Tout simplement parce que, à l'occasion d'un concert en France il y a fort longtemps, ce cher Buddy avait eu l'occasion d'applaudir Gilbert Bécaud lui aussi à l'affiche ! A l'issue de la soirée, il alla dans la loge de ce dernier pour le féliciter, sa prestation énergique notamment au piano lui ayant beaucoup plu et en profita pour admirer sa cravate à pois. C'est ainsi que peu après, il décida de décorer sa Strat de la même manière puis, plus tard, ses vêtements !
Un seul bémol avec lui, ses bavardages à n'en plus finir durant ses concerts, raison pour laquelle, après sa trop courte prestation au Paris Jazz Festival (au parc Floral) dans les années 90, j'ai décidé d'arrêter les frais.
Un sacré bonhomme qui tente de “faire le show”... et le clown et qui n'hésite pas durant ses concerts à jouer parmi le public. C'est sympa à condition qu'il n'ait pas abusé du rhum qu'il affectionne en coulisses. A tel point qu'un soir, au RAH, après avoir fait hurler sa guitare parmi les fans de l'orchestre, il emprunta un couloir pour rejoindre la scène et ne fut pas foutu de retrouver son chemin !
Quant à Bill Deraime, Dick, je suis d'accord avec toi. Je l'ai apprécié sur scène au début des années 80 et, avec Patrick Verbeke, je me suis dit que le blues français avait enfin trouvé ses dignes représentants. Ceci après qu'un certain Alan Jack, chanteur et organiste (Hammond), un copain à l'époque (Jack Braud à l'état civil), ait entamé sa croisade durant les années soixante en région tourangelle, après un long séjour à Londres ou il croisa le fer avec la bande à Graham Bond, Long John Baldry inclus. Le John Mayall français, c'était lui. Verbeke, et bien d'autres, fit partie de sa bande durant un certain temps. Il nous quitta malheureusement, début 90, victime comme beaucoup d'autres d'abus en tout genre.
Wow Claude... Un véritable puit de données et d'anecdotes !
Impressionnant ????
Merci bcp de partager tout cela. L'histoire de Gilbert Becaud et de Buddy Guy, je ne connaissais pas. Excellent !
Finalement, sans les idoles de la chanson française des années 60, que ce soit Hallyday (Hendrix) ou Becaud (Guy), où en serait l'histoire du blues noir américain ?!
Il y a une histoire d'ailleurs entre Clapton, Capdevieille et la fameuse SG The Fool, instrument emblématique de Disraeli Gears à l'époque de Cream.
Je ne me souviens plus très bien, je crois que Capdevieille aurait empêché Clapton de faire une bêtise en vendant la guitare, ou quelque chose dans le genre.
Que serait devenu la discographie de CREAM sans la bienveillance de notre Jean-Patrick national ? Nous ne le saurons jamais !
Impressionnant ????
Merci bcp de partager tout cela. L'histoire de Gilbert Becaud et de Buddy Guy, je ne connaissais pas. Excellent !
Finalement, sans les idoles de la chanson française des années 60, que ce soit Hallyday (Hendrix) ou Becaud (Guy), où en serait l'histoire du blues noir américain ?!
Il y a une histoire d'ailleurs entre Clapton, Capdevieille et la fameuse SG The Fool, instrument emblématique de Disraeli Gears à l'époque de Cream.
Je ne me souviens plus très bien, je crois que Capdevieille aurait empêché Clapton de faire une bêtise en vendant la guitare, ou quelque chose dans le genre.
Que serait devenu la discographie de CREAM sans la bienveillance de notre Jean-Patrick national ? Nous ne le saurons jamais !
Tout à fait. Il se serait lié d'amitié avec Clapton durant les sixties à Londres, où Capdevielle, alors directeur artistique, fréquente les clubs branchés (Speakeasy et d'autres).
Et c'est tout naturellement que Capdevielle devint l'hôte de Clapton (et de sa petite amie française... eh oui !) lorsque Cream se produisit à Paris. Le blouson en cuir que porte Jack Bruce sur la photo de la pochette de Fresh Cream est celui que Capdevielle a donné à Clapton, parce qu'il plaisait beaucoup à ce dernier. Il me semble que Clapton a écrit quelques lignes sur cette anecdote dans son autobiographie (à vérifier).
Edité par claude Le 29/08/2019 à 19h35
Et c'est tout naturellement que Capdevielle devint l'hôte de Clapton (et de sa petite amie française... eh oui !) lorsque Cream se produisit à Paris. Le blouson en cuir que porte Jack Bruce sur la photo de la pochette de Fresh Cream est celui que Capdevielle a donné à Clapton, parce qu'il plaisait beaucoup à ce dernier. Il me semble que Clapton a écrit quelques lignes sur cette anecdote dans son autobiographie (à vérifier).
Edité par claude Le 29/08/2019 à 19h35
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