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Encore un sale coup de la grande faucheuse !
Les Stones auront du mal à s'en remettre même si la personnalité de Charlie Watts était assez effacée.
De toute façon, Steve Jordan ou pas, le son ne sera plus le même, ce qui fut le cas lorsque Ronnie Wood a intégré le groupe après le départ de Mick Taylor.
Amuse-toi bien là haut Charlie !
Les Stones auront du mal à s'en remettre même si la personnalité de Charlie Watts était assez effacée.
De toute façon, Steve Jordan ou pas, le son ne sera plus le même, ce qui fut le cas lorsque Ronnie Wood a intégré le groupe après le départ de Mick Taylor.
Amuse-toi bien là haut Charlie !
Une édition dont la photo de couverture est sans rapport aucun avec le contenu puisqu'elle représente Clapton en 1968 avec sa Gibson Firebird utilisée une dernière fois lors du premier concert d'adieu de Cream au RAH en novembre. Il jouait avec la fameuse Gibson ES 335 Cherry Red durant le deuxième et ultime concert auquel j'assistais.
1970, année de l'enregistrement et de la parution de cette édition correspond au tout début de la saga Fender. Une Strat déjà utilisée avec Delaney & Bonnie qui figure sur la photo de couverture de l'album.
1970, année de l'enregistrement et de la parution de cette édition correspond au tout début de la saga Fender. Une Strat déjà utilisée avec Delaney & Bonnie qui figure sur la photo de couverture de l'album.
Amusant le titre du disque, “Johnny B. Bad”, qui fait référence au fameux “Johnny B. Goode” de Chuck Berry.
Sauf que “Goode” est un clin d'œil qui correspond à l'origine à son adresse de naissance au 2520 Goode Avenue à Saint-Louis (Missouri) avant d'être transformé en “Good” au fil du temps (qui se souvient du “Eddy Soit Bon” des... Chaussettes Noires ?).
Toujours est-il que j'apprécie ces deux titres proposés par l'ami Jean-Claude bien que n'appréciant guère l'overdub en général.
Il savait s'entourer Chuck Berry tout en s'appropriant une grande partie du pognon. Un vrai filou qui, selon certains, n'hésitait pas à demander une rallonge aux organisateurs une heure à peine avant les concerts en les menaçant de ne pas jouer en cas de refus. En tout cas, sans conteste, l'un des plus grands parmi les pionniers du Rock et du R&B.
Sauf que “Goode” est un clin d'œil qui correspond à l'origine à son adresse de naissance au 2520 Goode Avenue à Saint-Louis (Missouri) avant d'être transformé en “Good” au fil du temps (qui se souvient du “Eddy Soit Bon” des... Chaussettes Noires ?).
Toujours est-il que j'apprécie ces deux titres proposés par l'ami Jean-Claude bien que n'appréciant guère l'overdub en général.
Il savait s'entourer Chuck Berry tout en s'appropriant une grande partie du pognon. Un vrai filou qui, selon certains, n'hésitait pas à demander une rallonge aux organisateurs une heure à peine avant les concerts en les menaçant de ne pas jouer en cas de refus. En tout cas, sans conteste, l'un des plus grands parmi les pionniers du Rock et du R&B.
“I Believe I'll Dust My Broom”, composition originale de Robert Johnson en 1936, est devenue un standard du blues depuis sa reprise en 1951 par Elmore James avec une guitare slide saturée. Il était accompagné en studio par un bassiste et un batteur et par Sonny Boy Williamson II à l'harmonica. Le tempo de Johnson dans le style Delta Blues sera repris par James mais avec des accords typiques d'un blues à 12 mesures.
Je partage ton avis. La surpopulation scénique entraîne généralement le bazar, sans parler des pitreries habituelles de Buddy Guy lorsqu'il se mêle à la fête.
Cette version est parfaite et Chris Stainton est égal à lui-même c'est-à-dire excellent.
Quant à la jaquette, je n'ai jamais compris ce “flou artistique” baveux sans rapport aucun avec le contenu.
Cette version est parfaite et Chris Stainton est égal à lui-même c'est-à-dire excellent.
Quant à la jaquette, je n'ai jamais compris ce “flou artistique” baveux sans rapport aucun avec le contenu.