Voir tous les messages du membre
Ouais, en effet, pas de quoi se relever la nuit !
Et puis les Stones, moi je veux bien, mais en réalité il n'en reste que deux, à savoir la paire Jagger/Richards.
Les Stones originels ? Soit ils sont morts, soit ils ont quitté le groupe (Brian Jones, le vrai leader, fan de blues, des tout débuts, Charlie Watts, Bill Wyman, Mick Taylor qui jeta l'éponge faute de considération et qui fut remplacé à la va-vite par Ron Wood ex-bassiste du Jeff Beck Group et guitariste des Faces).
Il s'agit là en vérité, d'une vaste opération commerciale rondement menée.
En capitalisant sur le grand âge de Jagger et Richards, les as du marketing ont trouvé en effet,à peu de frais, la solution rêvée pour élucubrer et ainsi rameuter les foules et les journaleux généralistes qui racontent tout et n'importe quoi.
Un nouvel album certes, mais qui ne monte pas à la cheville de “Blue and Lonesome” de 2016.
Album sur lequel Jagger se révèle être un remarquable harmoniciste (comme l'était d'ailleurs Brian Jones), ce qui ne gâche rien bien au contraire.
Et puis les Stones, moi je veux bien, mais en réalité il n'en reste que deux, à savoir la paire Jagger/Richards.
Les Stones originels ? Soit ils sont morts, soit ils ont quitté le groupe (Brian Jones, le vrai leader, fan de blues, des tout débuts, Charlie Watts, Bill Wyman, Mick Taylor qui jeta l'éponge faute de considération et qui fut remplacé à la va-vite par Ron Wood ex-bassiste du Jeff Beck Group et guitariste des Faces).
Il s'agit là en vérité, d'une vaste opération commerciale rondement menée.
En capitalisant sur le grand âge de Jagger et Richards, les as du marketing ont trouvé en effet,à peu de frais, la solution rêvée pour élucubrer et ainsi rameuter les foules et les journaleux généralistes qui racontent tout et n'importe quoi.
Un nouvel album certes, mais qui ne monte pas à la cheville de “Blue and Lonesome” de 2016.
Album sur lequel Jagger se révèle être un remarquable harmoniciste (comme l'était d'ailleurs Brian Jones), ce qui ne gâche rien bien au contraire.
Pete Brown, le quatrième membre de Cream...
A la fois poète et compositeur émérite, on lui doit les morceaux les plus emblématiques de Cream : “White Room”, “Sunshine Of Your Love” ou “Politician”.
Sa collaboration avec Jack Bruce au début de l'aventure du trio donna également naissance au single “I Feel Free”.
“White Room” fait référence au lieu dans lequel il vivait tout en essayant de régler ses problèmes de drogue et d'alcool et en peaufinant l'écriture de diverses chansons.
A la fois poète et compositeur émérite, on lui doit les morceaux les plus emblématiques de Cream : “White Room”, “Sunshine Of Your Love” ou “Politician”.
Sa collaboration avec Jack Bruce au début de l'aventure du trio donna également naissance au single “I Feel Free”.
“White Room” fait référence au lieu dans lequel il vivait tout en essayant de régler ses problèmes de drogue et d'alcool et en peaufinant l'écriture de diverses chansons.
Merci Toerag.
Juste un petit conseil : si tu les trouve quelque part, n'hésite surtout pas à te procurer les deux albums du Jeff Beck Group, à savoir “Beck Ola” et “Truth”.
Deux galettes mythiques que tout amateur de Blues-Rock des sixties-seventies se doit, à mon sens, de posséder. Le titre “Blues Deluxe” suffit, à lui seul, à justifier cet achat.
Bonne écoute !
Juste un petit conseil : si tu les trouve quelque part, n'hésite surtout pas à te procurer les deux albums du Jeff Beck Group, à savoir “Beck Ola” et “Truth”.
Deux galettes mythiques que tout amateur de Blues-Rock des sixties-seventies se doit, à mon sens, de posséder. Le titre “Blues Deluxe” suffit, à lui seul, à justifier cet achat.
Bonne écoute !
Un immense guitariste vient de nous quitter... Repose en paix Jeff.
Les deux concerts du Jeff Beck Group auxquels j'assistais à Londres à la fin des sixties resteront à jamais gravés en ma mémoire.
Le premier dans un gymnase de banlieue (si, si !) avec une bonne centaine de chaises d'école devant l'estrade (une sorte de répétition pour le groupe) et le second, plus conventionnel, au Hammersmith Theatre. Avec Rod Stewart, Nicky Hopkins aux claviers, Ron Wood à la basse et Micky Waller à la batterie, le Blues-Rock torride à la sauce Jeff Beck venait de naître. Jimmy Page, avec son Led Zeppelin s'en inspira largement, sans aucun scrupule, peu de temps après.
Il s'agissait là du tout début des fameux “super group”, pour le plus grand bonheur de la presse British spécialisée qui en fit ses choux gras.
La suite, malheureusement, avec cette immersion dans l'univers du Jazz Rock ne m'intéressa guère sauf peut-être l'intermède avec Tim Bogert et Carmine Appice.
Les deux concerts du Jeff Beck Group auxquels j'assistais à Londres à la fin des sixties resteront à jamais gravés en ma mémoire.
Le premier dans un gymnase de banlieue (si, si !) avec une bonne centaine de chaises d'école devant l'estrade (une sorte de répétition pour le groupe) et le second, plus conventionnel, au Hammersmith Theatre. Avec Rod Stewart, Nicky Hopkins aux claviers, Ron Wood à la basse et Micky Waller à la batterie, le Blues-Rock torride à la sauce Jeff Beck venait de naître. Jimmy Page, avec son Led Zeppelin s'en inspira largement, sans aucun scrupule, peu de temps après.
Il s'agissait là du tout début des fameux “super group”, pour le plus grand bonheur de la presse British spécialisée qui en fit ses choux gras.
La suite, malheureusement, avec cette immersion dans l'univers du Jazz Rock ne m'intéressa guère sauf peut-être l'intermède avec Tim Bogert et Carmine Appice.