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Merci Toerag.
Juste un petit conseil : si tu les trouve quelque part, n'hésite surtout pas à te procurer les deux albums du Jeff Beck Group, à savoir “Beck Ola” et “Truth”.
Deux galettes mythiques que tout amateur de Blues-Rock des sixties-seventies se doit, à mon sens, de posséder. Le titre “Blues Deluxe” suffit, à lui seul, à justifier cet achat.
Bonne écoute !
Juste un petit conseil : si tu les trouve quelque part, n'hésite surtout pas à te procurer les deux albums du Jeff Beck Group, à savoir “Beck Ola” et “Truth”.
Deux galettes mythiques que tout amateur de Blues-Rock des sixties-seventies se doit, à mon sens, de posséder. Le titre “Blues Deluxe” suffit, à lui seul, à justifier cet achat.
Bonne écoute !
Un immense guitariste vient de nous quitter... Repose en paix Jeff.
Les deux concerts du Jeff Beck Group auxquels j'assistais à Londres à la fin des sixties resteront à jamais gravés en ma mémoire.
Le premier dans un gymnase de banlieue (si, si !) avec une bonne centaine de chaises d'école devant l'estrade (une sorte de répétition pour le groupe) et le second, plus conventionnel, au Hammersmith Theatre. Avec Rod Stewart, Nicky Hopkins aux claviers, Ron Wood à la basse et Micky Waller à la batterie, le Blues-Rock torride à la sauce Jeff Beck venait de naître. Jimmy Page, avec son Led Zeppelin s'en inspira largement, sans aucun scrupule, peu de temps après.
Il s'agissait là du tout début des fameux “super group”, pour le plus grand bonheur de la presse British spécialisée qui en fit ses choux gras.
La suite, malheureusement, avec cette immersion dans l'univers du Jazz Rock ne m'intéressa guère sauf peut-être l'intermède avec Tim Bogert et Carmine Appice.
Les deux concerts du Jeff Beck Group auxquels j'assistais à Londres à la fin des sixties resteront à jamais gravés en ma mémoire.
Le premier dans un gymnase de banlieue (si, si !) avec une bonne centaine de chaises d'école devant l'estrade (une sorte de répétition pour le groupe) et le second, plus conventionnel, au Hammersmith Theatre. Avec Rod Stewart, Nicky Hopkins aux claviers, Ron Wood à la basse et Micky Waller à la batterie, le Blues-Rock torride à la sauce Jeff Beck venait de naître. Jimmy Page, avec son Led Zeppelin s'en inspira largement, sans aucun scrupule, peu de temps après.
Il s'agissait là du tout début des fameux “super group”, pour le plus grand bonheur de la presse British spécialisée qui en fit ses choux gras.
La suite, malheureusement, avec cette immersion dans l'univers du Jazz Rock ne m'intéressa guère sauf peut-être l'intermède avec Tim Bogert et Carmine Appice.
Christine Perfect, chanteuse-pianiste des Chicken Shack, groupe qui devint dès 1968 l'un des piliers du British Blues Boom, au même titre que les Peter Green's Fleetwood Mac ou les Bluesbreakers de Mayall.
Les Fleetwood Mac justement où, à l'occasion de quelques piges, elle rencontra le bassiste ex-Bluesbreakers John Mc Vie qu'elle épousera en 69.
Elle deviendra le leader du groupe après le retrait de Peter Green en 70 pour raisons de santé. Après d'incessants changements de formation, le groupe opta pour une orientation musicale totalement déroutante pour tous ceux qui apprécièrent auparavant les talents de chanteuse et de claviériste de blues de Christine Perfect.
Départ donc vers les USA suivi d'enregistrements purement commerciaux pour une chasse aux dollars qui s'avéra fructueuse.
Les Fleetwood Mac justement où, à l'occasion de quelques piges, elle rencontra le bassiste ex-Bluesbreakers John Mc Vie qu'elle épousera en 69.
Elle deviendra le leader du groupe après le retrait de Peter Green en 70 pour raisons de santé. Après d'incessants changements de formation, le groupe opta pour une orientation musicale totalement déroutante pour tous ceux qui apprécièrent auparavant les talents de chanteuse et de claviériste de blues de Christine Perfect.
Départ donc vers les USA suivi d'enregistrements purement commerciaux pour une chasse aux dollars qui s'avéra fructueuse.
Les Nashville Teens n'avaient jamais joué avec Jerry Lee Lewis avant ce concert magistral. Ils se produisaient tout simplement à Hambourg suite au succès de leur titre le plus célèbre “Tobacco Road”.
L'organisateur des concerts du Star-Club eut la bonne idée de les présenter au “Killer”. Une courte répétition avec ce dernier suffit à le convaincre. Comme quoi le hasard peut faire parfois des miracles !
L'organisateur des concerts du Star-Club eut la bonne idée de les présenter au “Killer”. Une courte répétition avec ce dernier suffit à le convaincre. Comme quoi le hasard peut faire parfois des miracles !