• Parlons en » Anecdote
Je voudrais vous raconter une petite anecdote qui a un rapport direct avec Éric Clapton. Il me semble que je l’ai déjà racontée, mais ça c’était « avant » et ailleurs.
Cela se passe au Dôme de Marseille en 98 donc, pour mon premier concert d’Éric Clapton. Après toute une après-midi d’attente, enfin les fauves sont lâchés.
Dans un premier temps j’étais satisfait car j’avais réussi à me placer idéalement. J’étais à un mètre cinquante environ, au pied de la scène debout agrippé à une barrière que pour rien au monde je n’aurais lâché. Le concert commence.
Il y avait deux cameramen qui filmaient pour les écrans géants. Un à droite et l’autre à gauche. J’étais tellement près que je voyais les yeux de Clapton quand il chantait au micro. Il me tardait le moment où il allait attaquer un solo.
Mais là où ça s’est gâté c’est justement quand il a commencé ses solos ! A chaque fois qu’il attaquait un solo Clapton reculait …Ho pas beaucoup, un mètre peut-être ! Et en reculant, qui avais-je en point de mire ?? Plus de Clapton !
Il se trouvait derrière l’un des deux cameramen et je ne le voyais plus le temps du solo! Ho la colère que j’avais !! Je lui ai dit de tout à ce cameraman !
Un comble !! Éric Clapton est là devant moi et je suis obligé de le voir sur écran géant comme si j’étais devant une télé !!
J’avais beau faire de grands signes aux choristes, qui avaient compris ma « détresse » mais rien n’y a fait.
Un truc que je n’oublierais jamais.
Cela se passe au Dôme de Marseille en 98 donc, pour mon premier concert d’Éric Clapton. Après toute une après-midi d’attente, enfin les fauves sont lâchés.
Dans un premier temps j’étais satisfait car j’avais réussi à me placer idéalement. J’étais à un mètre cinquante environ, au pied de la scène debout agrippé à une barrière que pour rien au monde je n’aurais lâché. Le concert commence.
Il y avait deux cameramen qui filmaient pour les écrans géants. Un à droite et l’autre à gauche. J’étais tellement près que je voyais les yeux de Clapton quand il chantait au micro. Il me tardait le moment où il allait attaquer un solo.
Mais là où ça s’est gâté c’est justement quand il a commencé ses solos ! A chaque fois qu’il attaquait un solo Clapton reculait …Ho pas beaucoup, un mètre peut-être ! Et en reculant, qui avais-je en point de mire ?? Plus de Clapton !
Il se trouvait derrière l’un des deux cameramen et je ne le voyais plus le temps du solo! Ho la colère que j’avais !! Je lui ai dit de tout à ce cameraman !
Un comble !! Éric Clapton est là devant moi et je suis obligé de le voir sur écran géant comme si j’étais devant une télé !!
J’avais beau faire de grands signes aux choristes, qui avaient compris ma « détresse » mais rien n’y a fait.
Un truc que je n’oublierais jamais.
Console-toi Ifeelfree, Clapton est comme toi. Il avait horreur des cameramen (suivis de l'indispensable assistant porteur de batteries de secours !) qui se trimballaient sans interruption devant la scène de l'Albert Hall, notamment en 68 lors du Farewell Concert des Cream. C'est du moins ce qu'il dit, si je me souviens bien, dans l'interview postée récemment par le boss ou JC si tu préfères. 
De nos jours on a malheureusement droit aux smartphones portés à bout de bras, ce qui revient à peu près au même. Je me souviens avoir copieusement engueulé un mec lors du concert Clapton-Winwood à Bercy en 2010. Il se trouvait juste devant moi au 3ème rang de la fosse (à peu près car c'était plutôt mouvant), devant EC. Et il n'arrêtait pas d'enregistrer à bout de bras et me gâchait une bonne partie du spectacle.
Après lui avoir fait savoir qu'il commençait à me les gonfler sérieusement, il s'est calmé et à eu l'extrême gentillesse de se faufiler vers la droite. La voix était libre !
De nos jours on a malheureusement droit aux smartphones portés à bout de bras, ce qui revient à peu près au même. Je me souviens avoir copieusement engueulé un mec lors du concert Clapton-Winwood à Bercy en 2010. Il se trouvait juste devant moi au 3ème rang de la fosse (à peu près car c'était plutôt mouvant), devant EC. Et il n'arrêtait pas d'enregistrer à bout de bras et me gâchait une bonne partie du spectacle.
Après lui avoir fait savoir qu'il commençait à me les gonfler sérieusement, il s'est calmé et à eu l'extrême gentillesse de se faufiler vers la droite. La voix était libre !
A l'ère du tout numérique, j'avoue ne pas comprendre pourquoi ce genre d'afficionados vont au concert. Lorsque l'on fait cette démarche d'aller écouter et regarder un artiste en live, ce n'est pas pour le filmer car en agissant de la sorte, on perd une partie du spectacle (un peu comme moi quand je vais voir un film en VO, je lis le texte et perd l'image).
Tayane et Claude, comme vous avez raison. Je trouve cette manie de vouloir filmer avec son smartphone insupportable. Quand on va à un concert, c'est pour écouter de la musique, il me semble. Je me souviens au dernier concert de EC au RAH l'an dernier, mon voisin avait passé 1h bras levé pour filmer. Du grand n'importe quoi. Je pense que le soir même, il avait du avoir une sacrée crampe au bras.
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