• Parlons en » Pourquoi pas ?
Citation :
Claude a écrit:
“When things go wrong, go wrong with you, it hurts me too”.
Un standard du blues, interprété par une multitude de bluesmen et de groupes anglais ou US basé sur une mélodie enregistrée en 1931 par Tampa Red (slide guitar acoustique) et intitulée “Things About Comin' My Way”.
Lequel Tampa Recd enregistra une seconde version, électrique celle-là, en 1949 sous le titre “When Things Go Wrong With You”. Et c'est celle-là qui fit mouche. Interprétée d'abord par Big Bill Bronzy puis en 1957 par Elmore James, elle ne devint un hit qu'en 1963 lorsque Elmore James l'enregistra à nouveau avec quelques variantes au niveau du texte.
Clapton se l'appropria en enregistrant l'album From The Cradle et, il s'agit-là, de mon point de vue, de la version la plus aboutie.
Un morceau d'une rare intensité qui contribua à l'essor du jeu “en slide” durant les sixties-seventies.
Parmi les versions les plus connues, on peut citer celle de John Mayall (“A hard Road” extended version) ainsi que celle de Jeremy Spencer, le “frappadingue” de la slide au sein du Fleetwood Mac de Peter Green.
D'autres l'ont interprétée avec plus ou moins de bonheur : Junior Wells (avec Buddy Guy), Chuck Berry, Savoy Brown, les Stones (album “Jamming With Edward” en 72), Hound Dog Taylor, Grateful Dead, Eric Burdon, Susan Tedeschi (“Better Days” ou encore Paul Butterfield Blues Band.
Tampa Red a-t-il touché un jour des droits d'auteur ? je l'ignore...
Claude a écrit:
“When things go wrong, go wrong with you, it hurts me too”.
Un standard du blues, interprété par une multitude de bluesmen et de groupes anglais ou US basé sur une mélodie enregistrée en 1931 par Tampa Red (slide guitar acoustique) et intitulée “Things About Comin' My Way”.
Lequel Tampa Recd enregistra une seconde version, électrique celle-là, en 1949 sous le titre “When Things Go Wrong With You”. Et c'est celle-là qui fit mouche. Interprétée d'abord par Big Bill Bronzy puis en 1957 par Elmore James, elle ne devint un hit qu'en 1963 lorsque Elmore James l'enregistra à nouveau avec quelques variantes au niveau du texte.
Clapton se l'appropria en enregistrant l'album From The Cradle et, il s'agit-là, de mon point de vue, de la version la plus aboutie.
Un morceau d'une rare intensité qui contribua à l'essor du jeu “en slide” durant les sixties-seventies.
Parmi les versions les plus connues, on peut citer celle de John Mayall (“A hard Road” extended version) ainsi que celle de Jeremy Spencer, le “frappadingue” de la slide au sein du Fleetwood Mac de Peter Green.
D'autres l'ont interprétée avec plus ou moins de bonheur : Junior Wells (avec Buddy Guy), Chuck Berry, Savoy Brown, les Stones (album “Jamming With Edward” en 72), Hound Dog Taylor, Grateful Dead, Eric Burdon, Susan Tedeschi (“Better Days” ou encore Paul Butterfield Blues Band.
Tampa Red a-t-il touché un jour des droits d'auteur ? je l'ignore...
Salut Claude
Si la bonne idée de compiler tes connaissances dans un livre te venait un index serait indispensable.
En vingt lignes:
18 artistes ou groupes
4 albums
2 titres
Déjà 1/3 de page écrit !
Salut dub,
Sans problème évidemment... mais va falloir patienter et pas qu'un peu !
L'approche, le schéma narratif, la structure du récit, autant de paramètres à approfondir avant de faire face au syndrome de la page blanche... pas évident !
Bon, c'est pas tout ça... comment vont tes fûts et tes plateaux de cuivre ?
Sans problème évidemment... mais va falloir patienter et pas qu'un peu !
L'approche, le schéma narratif, la structure du récit, autant de paramètres à approfondir avant de faire face au syndrome de la page blanche... pas évident !
Bon, c'est pas tout ça... comment vont tes fûts et tes plateaux de cuivre ?
Répondre
Vous n'êtes pas autorisé à écrire dans cette catégorie