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Claptonholic :
Enfin ! 
Pour célébrer le 50ème anniversaire de l'album All Things Must Pass de George Harrison, des éditions Super Deluxe et Uber Deluxe sortiront bientôt, en principe le 6 Août 2021.
Ces éditions présenteraient un nouveau mixage « d'une profondeur sonore et d'une clarté à couper le souffle » réalisé par le mixeur/ingénieur Paul Hicks et supervisé par le producteur exécutif Dhani Harrison.
La Super Deluxe sera proposée en tirage limité selon trois formats. Huit LP (174,99€ ) ou cinq CD + Blu-Ray (113,99€ ) Alors que l’Uber Deluxe contiendra les deux formats LP et CD (999,99€ )
Pour célébrer le 50ème anniversaire de l'album All Things Must Pass de George Harrison, des éditions Super Deluxe et Uber Deluxe sortiront bientôt, en principe le 6 Août 2021.Ces éditions présenteraient un nouveau mixage « d'une profondeur sonore et d'une clarté à couper le souffle » réalisé par le mixeur/ingénieur Paul Hicks et supervisé par le producteur exécutif Dhani Harrison.
La Super Deluxe sera proposée en tirage limité selon trois formats. Huit LP (174,99€ ) ou cinq CD + Blu-Ray (113,99€ ) Alors que l’Uber Deluxe contiendra les deux formats LP et CD (999,99€ )
Salut à tous,
personnellement j'ai pu écouter le titre All Things Must Pass dans cette nouvelle version remixée sur Spotify il y a quelques semaines.
Il me semble que les autres titres ne sont pas encore disponibles et devraient l'être a la sortie officielle dans quelques semaines.
Le mix est excellent, les cuivres de l'intro ressortent d'une manière surprenante et la voix d'Harrison prend une clarté qui la rend bcp plus perceptible.
Cela dit, le mix n'est pas forcément meilleur que l'original. Il est partie prenante de la création artistique d'une œuvre musicale et à fortiori le travail si particulier de Phil Spector et Harrison. Il est vrai qu'il redonne un coup de jeune surprenant à une chanson vieille de 50 ans. Attendons de voir la suite.
Bref, sympathique mais rien qu'y justifie de repayer une blinde une nouvelle édition collector.
La version Uber Deluxe avec les gnomes fournis dans la boîte est juste complètement dingue... Comment oser penser à des éditions comme celle-ci ??? ????
Salut Toerag,
merci pour cette version alternative.
Cela laisse à penser que tout cela est effectivement arrivé au moment des London sessions du Wolf, donc 1971.
Ce qui est moins clair, c'est que Hubert Sumlin expliquait dans l'interview de Guitard World qu'il avait rendu l'instrument à Clapton deux ans après, lors d'une retrouvaille au festival de Montreux.
J'ai quelques doutes sur le fait que Clapton se serait rendu début des années 70 en Suisse, étant donné la précarité de sa vie sociale pendant la période 71/73.
Mais bon, cela occupe et fait parler les fans et historiens de la Stratocaster, c'est déjà ça ????.
merci pour cette version alternative.
Cela laisse à penser que tout cela est effectivement arrivé au moment des London sessions du Wolf, donc 1971.
Ce qui est moins clair, c'est que Hubert Sumlin expliquait dans l'interview de Guitard World qu'il avait rendu l'instrument à Clapton deux ans après, lors d'une retrouvaille au festival de Montreux.
J'ai quelques doutes sur le fait que Clapton se serait rendu début des années 70 en Suisse, étant donné la précarité de sa vie sociale pendant la période 71/73.
Mais bon, cela occupe et fait parler les fans et historiens de la Stratocaster, c'est déjà ça ????.
claude :
Une édition dont la photo de couverture est sans rapport aucun avec le contenu puisqu'elle représente Clapton en 1968 avec sa Gibson Firebird utilisée une dernière fois lors du premier concert d'adieu de Cream au RAH en novembre. Il jouait avec la fameuse Gibson ES 335 Cherry Red durant le deuxième et ultime concert auquel j'assistais.
1970, année de l'enregistrement et de la parution de cette édition correspond au tout début de la saga Fender. Une Strat déjà utilisée avec Delaney & Bonnie qui figure sur la photo de couverture de l'album.
1970, année de l'enregistrement et de la parution de cette édition correspond au tout début de la saga Fender. Une Strat déjà utilisée avec Delaney & Bonnie qui figure sur la photo de couverture de l'album.
Salut à tous, à propos de cette fameuse Stratocaster dont Clapton lui avait attribué le sobriquet de Brownie, en rapport avec sa finition Sunburst 2 tons caractéristique de l'époque de construction (1956), j'ai récemment lu sur des forums américains que cette guitare aurait pu être prêtée à Hubert Sumlin par Clapton pendant deux ans.
Cela aurait conduit Clapton à se trouver une nouvelle Stratocaster de prédilection et l'aurait conduit à se construire sa fameuse Blackie.
Cela expliquerait la mise à la retraite de Brownie par EC et la faveur de sa fameuse strat noire.
Hubert Sumlin raconte dans une interview de 1994 pour le magazine Guitar World comment Clapton l'a invité un jour à Hurtwood Edge et lui a proposé de piocher deux guitares de sa magistrale collection. Hubert se serait aurait eu la curiosité d'une somptueuse Stratocaster qui aurait été celle alors utilisée par Clapton.
Cela dit, l'interview en question ne mentionne pas d'éléments précis sur la guitare ni à quelle époque cette rencontre a eu lieu.
Hubert évoquant précédemment le déroulement des sessions londoniennes de Howlin' Wolf (1970), des internautes ont suggéré que la guitare en question serait Brownie.
L'interview de Sumlin vaut son pesant d'or, elle est lisible en anglais ici :
[url=https://www.guitarworld.com/gw-archive/interview-hubert-sumlin-discusses-working-howlin-wolf-1994-guitar-world-interview][/url]
Happy Birthday Slowhand !
Et bien le bonjour à vous tous chers Claptophiles !
J'ai pas eu l'occasion de venir flâner ici dans le secteur dernièrement et c'est bien dommage.
En espérant pouvoir retourner rapidement voir des concerts et pourquoi pas une fois encore EC .
Cheers
Dick
Et bien le bonjour à vous tous chers Claptophiles !
J'ai pas eu l'occasion de venir flâner ici dans le secteur dernièrement et c'est bien dommage.
En espérant pouvoir retourner rapidement voir des concerts et pourquoi pas une fois encore EC .
Cheers
Dick
L'année musicale 1970 a été particulièrement prolifique dans le milieu de la rock music et s'agit certainement d'une des années artistiquement les plus importantes pour Eric Clapton.
Il y a 50 ans jour pour jour sortait dans les bacs All things must pass, 1er album solo de George Harrison et pour lequel Clapton a une importance particulière.
Il s'agit également du premier triple LP d'un artiste solo. On connaît l'exutoire musical qu'a été cet album pour George, orphelin désabusé du plus grand groupe de l'histoire de la musique qui s'était officiellement séparé quelques mois plus tôt.
La participation de Clapton à l'album en tant que guest est à souligner, les interventions d'EC sont magnifiques et viennent à merveille enrichir le Mur du Son si cher à Phil Spector, co-producteur de l'album.
Ce sera l'occasion pour Eric de définir son prochain groupe, les Derek and the dominoes, les quatre membre du groupe ayant initié leur collaboration musicale à travers ces sessions.
On peut imaginer aussi toute la frustration sentimentale qu'à pu provoquer chez Clapton le fait de travailler durant ces enregistrer en proximité du couple George Harrison / Patie Boyd. De quoi alimenter l'imaginaire artistique pour le Layla album qui allait suivre dans la foulée.
Le contraste sonore de la production entre les deux albums dénote particulièrement : un diamant brut pour le Layla album, une œuvre musicale hyper produite et ultra-lyrique pour All Things Must Pass.
A noter d'ailleurs que l'album d'Harisson, bien qu'enregistré avant celui des Dominoes, sortira plusieurs semaines après dans les bacs, illustrant l'approche totalement opposée des deux productions.
Pour ma part, je reste toujours autant scotché par l'intro de Clapton sur Art Of Dying. Quelle puissance sonore ! Cette wah-wah en furie m'a toujours fait halluciné !
https://youtu.be/EqLf2vgrymU
https://www.google.com/amp/s/www.rollingstone.fr/la-famille-de-george-harrison-reedite-all-things-must-pass/amp/
Cheers,
Dick
Il y a 50 ans jour pour jour sortait dans les bacs All things must pass, 1er album solo de George Harrison et pour lequel Clapton a une importance particulière.
Il s'agit également du premier triple LP d'un artiste solo. On connaît l'exutoire musical qu'a été cet album pour George, orphelin désabusé du plus grand groupe de l'histoire de la musique qui s'était officiellement séparé quelques mois plus tôt.
La participation de Clapton à l'album en tant que guest est à souligner, les interventions d'EC sont magnifiques et viennent à merveille enrichir le Mur du Son si cher à Phil Spector, co-producteur de l'album.
Ce sera l'occasion pour Eric de définir son prochain groupe, les Derek and the dominoes, les quatre membre du groupe ayant initié leur collaboration musicale à travers ces sessions.
On peut imaginer aussi toute la frustration sentimentale qu'à pu provoquer chez Clapton le fait de travailler durant ces enregistrer en proximité du couple George Harrison / Patie Boyd. De quoi alimenter l'imaginaire artistique pour le Layla album qui allait suivre dans la foulée.
Le contraste sonore de la production entre les deux albums dénote particulièrement : un diamant brut pour le Layla album, une œuvre musicale hyper produite et ultra-lyrique pour All Things Must Pass.
A noter d'ailleurs que l'album d'Harisson, bien qu'enregistré avant celui des Dominoes, sortira plusieurs semaines après dans les bacs, illustrant l'approche totalement opposée des deux productions.
Pour ma part, je reste toujours autant scotché par l'intro de Clapton sur Art Of Dying. Quelle puissance sonore ! Cette wah-wah en furie m'a toujours fait halluciné !
https://youtu.be/EqLf2vgrymU
https://www.google.com/amp/s/www.rollingstone.fr/la-famille-de-george-harrison-reedite-all-things-must-pass/amp/
Cheers,
Dick
Claptonholic :
Au cas où nous aurions loupé l’Edition Deluxe du 40ème anniversaire de "Layla And Other Assorted Love Songs" Cream et Universal Music nous offrent une seconde chance.
"Layla And Other Assorted Love Songs" a eu 50 ans la semaine dernière! Pour fêter ça, une édition du 50ème anniversaire de l'album est maintenant disponible sur 4LP et 2CD, demi-vitesse masterisé par Miles Showell aux Abbey Road Studios. Le CD 2 regroupe des bonus (des faces B et des lives)
Le coffret 4LP comprend également un livre à collectionner spécial 12x12 de notes de pochette.
En fait le recyclage des CD du 40ème anniversaire plus 4 LP.
et Universal Music nous offrent une seconde chance."Layla And Other Assorted Love Songs" a eu 50 ans la semaine dernière! Pour fêter ça, une édition du 50ème anniversaire de l'album est maintenant disponible sur 4LP et 2CD, demi-vitesse masterisé par Miles Showell aux Abbey Road Studios. Le CD 2 regroupe des bonus (des faces B et des lives)
Le coffret 4LP comprend également un livre à collectionner spécial 12x12 de notes de pochette.
En fait le recyclage des CD du 40ème anniversaire plus 4 LP.
Image capturée sur le mail de; Cream and Central : Universal Music Operations Ltd
Pff, particulièrement maladroite cette image publicitaire, le nom du groupe n'apparaît même pas explicitement alors qu'un énorme CREAM au style très 60's surplombe la photo des LP... Purée les services marketing parfois je vous jure... ????
Donc si je comprends bien, l'unique intérêt de cette édition 50th Anniversary est de disposer des remasters et des morceaux alternatifs de la 40ème version LP ?
Bises
Dick
Tout est dans le titre, avec un prix d'entrée de mise en enchères d'1M$, ce qui en fera de facto la guitare ayant appartenu à EC la plus chèrement vendue de l'histoire.
En effet, elle suplentera la fameuse Blackie, qui avait déjà vendue chez Christie's au tarif de 959 000$ à l'époque.
Pourquoi alors un tel tarif pour cette guitare assez anecdotique dans l'histoire artistique de notre guitar hero ?
- l'inflation depuis les 15 dernières années (ah bon ?)
- la rareté de cette guitare, indépendamment du fait qu'elle ait appartenu à Clapton. Il s'agit du stratocaster 54 (année de démarrage du modèle) avec un chevalet fixe. Cela en fait d'entrée une guitare "very very expensive" (les strat 54 et les LP 59 ont la ferveur des plus grands collectionneurs instrument dans le monde). L'état visiblement assez exceptionnel pour une 54 et le fait de prestigieux propriétaire va en faire exploser le prix.
Article guitariste.com : https://www.google.com/amp/s/www.guitariste.com/articles/fender-stratocaster-eric-clapton-encheres,5853,1.html%3famp=1
Cheers
Dick
En effet, elle suplentera la fameuse Blackie, qui avait déjà vendue chez Christie's au tarif de 959 000$ à l'époque.
Pourquoi alors un tel tarif pour cette guitare assez anecdotique dans l'histoire artistique de notre guitar hero ?
- l'inflation depuis les 15 dernières années (ah bon ?)
- la rareté de cette guitare, indépendamment du fait qu'elle ait appartenu à Clapton. Il s'agit du stratocaster 54 (année de démarrage du modèle) avec un chevalet fixe. Cela en fait d'entrée une guitare "very very expensive" (les strat 54 et les LP 59 ont la ferveur des plus grands collectionneurs instrument dans le monde). L'état visiblement assez exceptionnel pour une 54 et le fait de prestigieux propriétaire va en faire exploser le prix.
Article guitariste.com : https://www.google.com/amp/s/www.guitariste.com/articles/fender-stratocaster-eric-clapton-encheres,5853,1.html%3famp=1
Cheers
Dick
... Et dans l'actualité presse du moment, un numéro spécial de la revue "les légendes de la musique" sur le style qui nous passionne tant : "l'histoire du Blues".
Un condensé de 132 pages qui, même si il n'adresse pas directement de sujet sur Clapton, est truffé d'allusions à son égard.
La revue mentionne en effet l'avènement de Are You Experienced, la fin de carrière de SRV avec In Step et le tragique accident à Alpine Valley, les sessions londoniennes de Howlin Wolf (mon article préféré), etc
La revue fait son prix mais le contenu le mérite.
D'autres focus son fait sur Bonamassa, Walter Trout, Buddy Guy, le Three Hombres de ZZ Top, la naissance du Heavy Blues londonien des sixties... Bref que du bon.
Cheers
Dick
Un condensé de 132 pages qui, même si il n'adresse pas directement de sujet sur Clapton, est truffé d'allusions à son égard.
La revue mentionne en effet l'avènement de Are You Experienced, la fin de carrière de SRV avec In Step et le tragique accident à Alpine Valley, les sessions londoniennes de Howlin Wolf (mon article préféré), etc
La revue fait son prix mais le contenu le mérite.
D'autres focus son fait sur Bonamassa, Walter Trout, Buddy Guy, le Three Hombres de ZZ Top, la naissance du Heavy Blues londonien des sixties... Bref que du bon.
Cheers
Dick
Salut Claptonholic,
merci pour toutes ses infos.
Bon, je vais certainement me laisser tenter sur le crossroads Festival 2019, même si je n'attends pas spécialement grand chose de Clapton en tant que tel. Le duo Bonnie Raitt / Sheryl Crow me tente bien, Gary Clark Jr, j'espère quelque chose de la reprise d'Otis Redding par Doyle et Susan et les collaborations country-rock autour de Vince Gill.
Je redoute Los Lobos, le duo Buddy Guy / Jonny Lang (catastrophe de mon point de leur 1ère collaboration à un précédent Crossroads) et Jimmie Vaughan (pourtant j'apprécie son début de carrière au sein des Fabulous Thunderbirds et les premiers albums solos).
J'ai peur surtout que le Festival ait perdu de son âme avec les disparitions de BB, Hubert et Johnny Winter qui ont marqué de leur empreinte les premiers festivals.
Cheers,
Dick
merci pour toutes ses infos.
Bon, je vais certainement me laisser tenter sur le crossroads Festival 2019, même si je n'attends pas spécialement grand chose de Clapton en tant que tel. Le duo Bonnie Raitt / Sheryl Crow me tente bien, Gary Clark Jr, j'espère quelque chose de la reprise d'Otis Redding par Doyle et Susan et les collaborations country-rock autour de Vince Gill.
Je redoute Los Lobos, le duo Buddy Guy / Jonny Lang (catastrophe de mon point de leur 1ère collaboration à un précédent Crossroads) et Jimmie Vaughan (pourtant j'apprécie son début de carrière au sein des Fabulous Thunderbirds et les premiers albums solos).
J'ai peur surtout que le Festival ait perdu de son âme avec les disparitions de BB, Hubert et Johnny Winter qui ont marqué de leur empreinte les premiers festivals.
Cheers,
Dick