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Le meilleur des pionniers vient de s'éteindre. C'est triste...
Grâce à son piano, il a su très tôt se différencier des autres et nous offrir des shows torrides et inoubliables.
Je conseille à tous l'écoute de “Live at the Star-Club, Hamburg”, paru en 1964.
Accompagné par les excellents Nashville Teens, ce concert est tout simplement une tuerie ! Le meilleur album Live de l'histoire du Rock, sans aucun doute.

Absolument d'accord avec toi Tayane.
Il joue à Chicago et se contente d'un “The Sky is Crying” mou comme une chiffe molle dans la cité du blues !
Ce serait quand même appréciable qu'il réagisse efficacement. Mais en a t'il encore envie ? That is the big question...

Super J.-C. !
Henry Lowther, Dick Heckstall-Smith et Jon Hiseman, trois pointures que Mayall recrutera pour l'enregistrement de l'album “Bare Wires” et la tournée qui suivit. Sur scène ça déchirait un max... Du Jazz-Blues à la sauce Mayall avec un brillantissime Mick Taylor.

Sympa, merci !

Un remarquable album qui n'arrêtait pas de tourner sur ma platine dans mon flat d'Earl's Court juste après sa parution. “Rope Ladder” était mon titre préféré.
Des pointures l'accompagnent et c'est vraiment du solide.

A qui le dis-tu Jean-Claude !
“It Hurst Me Too” enregistré en... 1941 par Tampa Red puis repris par l'immense Elmore James en 56. Rien qu'avec ce titre puis avec “Forty Four” de Howlin' Wolf, il y avait de quoi vibrer à Bercy lors du Nothing But The Blues Tour. Ces deux reprises par Clapton sont tout simplement magistrales.

Jouer de la guitare électrique dans une salle de bains, c'est très dangereux, à moins d'y installer le fameux tapis persan qu'il n'est plus besoin de présenter !

Tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne les interviews.
Cependant, c'est quand même un immense plaisir de voir et revoir Clapton durant cette période dédiée à sa “dette au Blues”. Sans oublier le son tout simplement sublime de sa Gibson ES 335 et surtout de la Strat blanche équipée des fameux micros Lace Sensor.

Bon anniversaire Eric et Chris.
Et comme le répétait avec l'accent Letizia Bonaparte, mère de Napoléon, “Pourvou qu'ça doure” !

Gary Brooker fut également, de façon épisodique, le claviériste des Rhythm Kings de Bill Wyman.
J'ai beaucoup apprécié son talent lors d'un concert au Bataclan. Georgie Fame, de l'autre côté de la scène lui donnait la réplique...