• Parlons en » Présentation Pour mieux se connaitre
Mais pas de problème les amis, je voulais simplement savoir si vous étiez d'accord 
Là je n'ai pas le temps mais dès mon retour j'attaque et je ferais une édition. A tout à l'heure
Donc :
Je suis Angelo, je suis du sud à Pertuis dans le Vaucluse. Je précise que je suis d'origine sicilienne mais né en France. C'est pour ça que je ferais de temps en temps des allusions sur l'Italie.
Je n’ai malheureusement pas fait d’études secondaires et donc fait plein de boulot ce qui ne m’a pas empêché de vivre bien. Aujourd’hui à la retraite je vais avoir 70 ans dans deux mois.
J'ai toujours aimé la guitare électrique et j’ai appris à en jouer tout seul à vingt ans à peu près ce qui est un peu tard à mon avis et pas toujours d’une manière assidue. Et paradoxe, j'ai découvert Éric Clapton assez tard en 1994 et j'ignore pourquoi pas avant.
A l’année 1994 donc, je me décide enfin à prendre un cours de guitare avec un prof mordu de blues et c’est là qu’il me parle d’Éric Clapton. Ça été le déclic. J’achète le premier CD.
En 2006 je me décide à prendre Internet. Autre déclic ! Je tombe rapidement sur un site de Clapton. Et qu’elle est la première personne à me contacter par MP ?? Je vous le donne en mille ! Jean Claude.
Cette année –là, il avait prévu de venir passer des vacances près de chez moi, et il m’a donc proposé que l’on se rencontre. Cela fait donc douze ans que nous nous connaissons Jean Claude et moi et nous nous sommes rencontrés plusieurs fois. Et comme je dessine un peu aussi, j'ai dessiné en 2007 un portrait au crayon de Clapton que j'ai offert à Jean Claude.
Je vais résumer un peu, sinon je fais faire un roman. Toujours par le biais du forum, nous avons fait en 2011, notre festival de guitares sur trois jours avec cinq claptonniens en « live » en Normandie chez Jean Claude avec notamment Laurent, alias « Toerag » ici présent. Et Jean Claude a même fait un DVD de cet évènement.
Je connais aussi depuis 2006 Claude également ici présent, mais malheureusement nous n’avons pas eu l’occasion de se rencontrer.
A noter que j’ai vu en concert Clapton en 1998 au Dôme à Marseille et en 2008 à Hyde Park à Londres avec Jean Claude. Mémorable. Je possède pratiquement tous les CD et DVD de Clapton, mais je suis en retard sur les dernières parutions
Voilà j’arrête là, je vais surement oublier des trucs on verra. A vous !!
Edité par Ifeelfree Le 04/04/2018 à 12h34
Là je n'ai pas le temps mais dès mon retour j'attaque et je ferais une édition. A tout à l'heure
Donc :
Je suis Angelo, je suis du sud à Pertuis dans le Vaucluse. Je précise que je suis d'origine sicilienne mais né en France. C'est pour ça que je ferais de temps en temps des allusions sur l'Italie.
Je n’ai malheureusement pas fait d’études secondaires et donc fait plein de boulot ce qui ne m’a pas empêché de vivre bien. Aujourd’hui à la retraite je vais avoir 70 ans dans deux mois.
J'ai toujours aimé la guitare électrique et j’ai appris à en jouer tout seul à vingt ans à peu près ce qui est un peu tard à mon avis et pas toujours d’une manière assidue. Et paradoxe, j'ai découvert Éric Clapton assez tard en 1994 et j'ignore pourquoi pas avant.
A l’année 1994 donc, je me décide enfin à prendre un cours de guitare avec un prof mordu de blues et c’est là qu’il me parle d’Éric Clapton. Ça été le déclic. J’achète le premier CD.
En 2006 je me décide à prendre Internet. Autre déclic ! Je tombe rapidement sur un site de Clapton. Et qu’elle est la première personne à me contacter par MP ?? Je vous le donne en mille ! Jean Claude.
Cette année –là, il avait prévu de venir passer des vacances près de chez moi, et il m’a donc proposé que l’on se rencontre. Cela fait donc douze ans que nous nous connaissons Jean Claude et moi et nous nous sommes rencontrés plusieurs fois. Et comme je dessine un peu aussi, j'ai dessiné en 2007 un portrait au crayon de Clapton que j'ai offert à Jean Claude.
Je vais résumer un peu, sinon je fais faire un roman. Toujours par le biais du forum, nous avons fait en 2011, notre festival de guitares sur trois jours avec cinq claptonniens en « live » en Normandie chez Jean Claude avec notamment Laurent, alias « Toerag » ici présent. Et Jean Claude a même fait un DVD de cet évènement.
Je connais aussi depuis 2006 Claude également ici présent, mais malheureusement nous n’avons pas eu l’occasion de se rencontrer.
A noter que j’ai vu en concert Clapton en 1998 au Dôme à Marseille et en 2008 à Hyde Park à Londres avec Jean Claude. Mémorable. Je possède pratiquement tous les CD et DVD de Clapton, mais je suis en retard sur les dernières parutions
Voilà j’arrête là, je vais surement oublier des trucs on verra. A vous !!
Edité par Ifeelfree Le 04/04/2018 à 12h34
Le monde est petit !
Euh... pour les “dernières parutions”, ne te précipite pas trop !
Je me souviens très bien de ce festival d'enfer paru en photos sur le site auquel tu fais allusion. Que des pointures et une même demoiselle qui, à l'époque, voulait faire l'acquisition d'une ES 335 (dans ses rêves !). A moins, bien sûr, que je me trompe.
Si tu ne l'as déjà fait, du devrais aller faire un tour sur http://sanfermin.canalblog.com/
Ça vaut vraiment le détour. L'ami Fred (ici présent) nous y fait vivre et revivre tous les jours de grands moments...
Euh... pour les “dernières parutions”, ne te précipite pas trop !
Je me souviens très bien de ce festival d'enfer paru en photos sur le site auquel tu fais allusion. Que des pointures et une même demoiselle qui, à l'époque, voulait faire l'acquisition d'une ES 335 (dans ses rêves !). A moins, bien sûr, que je me trompe.
Si tu ne l'as déjà fait, du devrais aller faire un tour sur http://sanfermin.canalblog.com/
Ça vaut vraiment le détour. L'ami Fred (ici présent) nous y fait vivre et revivre tous les jours de grands moments...
Pour les dernières parutions "live at san Diego", "old Sock" et "I still do" ne te presse pas pour les acquérir comme le dit si bien Claude.Tu feras des économies qui te permettront d'acquérir autre chose. Alors, à mon tour de faire une brève présentation: 62 ans, habitant Bordeaux, ancien disquaire professionnel (en magasin et en boîte de nuit), passionné de styles aussi variés que le blues, le rock, le jazz, le jazz/rock, la country, le country/rock et le folk, j'ai eu le privilège de voir une grande partie des légendes des sixties/seventies un peu partout. Mon premier concert d'Eric Clapton date du 8 mai 1983 au Vélodrome de San Sebastian (Spain). Il était entouré de:
Albert Lee - guitar / vocals
Chris Stainton - keyboards
Donald "Duck" Dunn - bass
Jamie Oldaker - drums
avec une set list savoureuse (1 seul morceau de JJ Cale):
01. Tulsa Time
02. I Shot The Sheriff
03. Worried Life Blues
04. Lay Down Sally
05. Let It Rain
06. Double Trouble
07. Sweet Little Lisa
08. Key To The Highway
09. After Midnight
10. The Shape You’re In
11. Wonderful Tonight
12. Blues Power
13. Ramblin’ > Have You Ever Loved A Woman
14. Cocaine
15. Layla
16. Further On Up The Road
Depuis , nos chemins avec EC se sont plus croisés à l'étranger (States, Angleterre) qu'en France, mis à part la tournée avec Steve Winwood en 2010. Souhaitons que le concert de juillet prochain à Londres sera à la hauteur de nos attentes.
Je tiens un blog depuis 2 ans 1/2, mis à jour presque quotidiennement sur l'ensemble des musiques sixties et seventies dont Claude t'a mis le lien sur son message.
Albert Lee - guitar / vocals
Chris Stainton - keyboards
Donald "Duck" Dunn - bass
Jamie Oldaker - drums
avec une set list savoureuse (1 seul morceau de JJ Cale):
01. Tulsa Time
02. I Shot The Sheriff
03. Worried Life Blues
04. Lay Down Sally
05. Let It Rain
06. Double Trouble
07. Sweet Little Lisa
08. Key To The Highway
09. After Midnight
10. The Shape You’re In
11. Wonderful Tonight
12. Blues Power
13. Ramblin’ > Have You Ever Loved A Woman
14. Cocaine
15. Layla
16. Further On Up The Road
Depuis , nos chemins avec EC se sont plus croisés à l'étranger (States, Angleterre) qu'en France, mis à part la tournée avec Steve Winwood en 2010. Souhaitons que le concert de juillet prochain à Londres sera à la hauteur de nos attentes.
Je tiens un blog depuis 2 ans 1/2, mis à jour presque quotidiennement sur l'ensemble des musiques sixties et seventies dont Claude t'a mis le lien sur son message.
Que vous dire ?
Tayane est mon surnom y compris pour mes proches.
Je suis en retraite de la fonction publique depuis quelques mois et j'habite à Verdun en Lorraine.
Comme beaucoup j'ai découvert Éric Clapton par son "Unplugged" mais à l'époque je n'avais guère le temps de m'attarder sur le "phénomène". Je l'ai redécouvert en regardant une émission d'Arte sur Luciano Pavarotti qui m'a conduit à acheter CD, DVD et livres.
Internet via YouTube et divers sites de musique en ligne a fait le reste : je suis "accro".
Tout comme Angelo, je me suis fait "hameçonner" via un forum par Jean-Claude qui m'a recommandé le site de Fred et m'a fait découvrir de nombreuses participations de Clapton.
Je n'ai jamais assisté à un de ses concerts et je n'aurai jamais sans doute pas cette opportunité.
En conclusion, je suis, au regard de ceux qui interviennent sur ce site une "bleue" qui n'a pas grand chose à dire par rapport à vos commentaires de vieux briscards.
Tayane est mon surnom y compris pour mes proches.
Je suis en retraite de la fonction publique depuis quelques mois et j'habite à Verdun en Lorraine.
Comme beaucoup j'ai découvert Éric Clapton par son "Unplugged" mais à l'époque je n'avais guère le temps de m'attarder sur le "phénomène". Je l'ai redécouvert en regardant une émission d'Arte sur Luciano Pavarotti qui m'a conduit à acheter CD, DVD et livres.
Internet via YouTube et divers sites de musique en ligne a fait le reste : je suis "accro".
Tout comme Angelo, je me suis fait "hameçonner" via un forum par Jean-Claude qui m'a recommandé le site de Fred et m'a fait découvrir de nombreuses participations de Clapton.
Je n'ai jamais assisté à un de ses concerts et je n'aurai jamais sans doute pas cette opportunité.
En conclusion, je suis, au regard de ceux qui interviennent sur ce site une "bleue" qui n'a pas grand chose à dire par rapport à vos commentaires de vieux briscards.
Bon, ben... allons-y gaiement ! 
Tout d'abord le rythme. Je suis né avec (dommage que mes parents n'aient pas eu le temps de m'expliquer) et peut-être même avec un crayon dans les doigts, remplacé plus tard (occasionnellement) par des baguettes, celles qui tapent sur la caisse-claire ou les toms...
Mes premiers frémissements, vers l'âge de 13-14 ans à l'écoute des Everly Brothers et même de Cliff Richard avec ses Shadows (si, si !). Puis désintéressement total pour les yéyés franchouillards malgré un petit coucou à messieurs Filippachi et Ténot , leurs émissions m'ayant fait découvrir un certain Booker T & the MG's. En passant, merci aussi à un certain Schmoll (Eddy pour les intimes) qui m'aiguilla vers le rock US personnalisé à ses yeux par Gene Vincent.
Et quand je dis rock, je parle du rock des pionniers, pur et dur. Ce fut la période... comment dire ? oui, c'est ça, la plus sauvage (!) de ma modeste existence. Elvis (le déclic avec Jailhouse Rock), Jerry Lee Lewis, Buddy Holly et sa Stratocaster, Eddie Cochran... Un anglais fit passer le message en France à tous les yéyés et aux autres. il s'appelait Vince Taylor.
Une sorte d'envoutement qui perdura jusqu'à une apparition que je qualifierai de divine (n'ayons pas peur des mots) sur les antennes et dans les bacs, celle des Stones, en l'occurrence de leurs premiers 45 tours.
Les Stones certes, mais aussi et surtout tout ce qui tournait autour à savoir les Jimmy Reed, Chuck Berry ou Bob Diddley. Pour moi, une sorte d'entrée par la petite porte dans le monde du rythmn' n' blues et du blues tout court.
Un court séjour en Angleterre en 1965 me permit de découvrir de visu des prétendants au magot déterré par les Stones. Dans l'ordre des dates, les Troggs (bof), les Kinks (pas mal du tout Ray Davies), les Pretty Things (clone et rivaux des Stones à l'époque) ou les Downliner Sect (rythmn'n' blues affirmé).
Une porte ouverte bientôt en grand grâce à une connaissance déjà évoquée ici même, un musicien surnommé Alan Jack, qui m'initia et m'introduisit peu à peu dans l'univers passionnant de la musique du diable. De retour d'Angleterre où à 19 ans il avait eu le privilège de se produire sur scène avec Graham Bond et de cotôyer Alexis Korner et ses amis, il me recommanda un certain Long John Baldry, pianiste-chanteur de blues britannique, qui venait de sortir un LP en France sous le label Barclay.
Second déclic. Muddy Waters, Willie Dixon et bien d'autres, grâce à cet enregistrement, devinrent mes gourous (avec ou sans mojo !).
Puis, il se murmura ici ou là, qu'un drôle de mouvement prenait petit à petit de l'ampleur en Angleterre grâce aux efforts de musiciens passionnés, pour la plupart issus de la bande à Korner, un mouvement ayant pour objectif de cuisiner le blues à la sauce britannique. John Mayall s'y employa le premier et d'innombrables émules ne tardèrent pas à le suivre. Le British Blues Boom était sur les rails de la renommée et y resta sept ou huit bonnes années.
La meilleure solution ? Aller faire un tour dans ce pays béni des dieux pour voir et écouter. Ce que je fis dès 1967 avec quelques amis. Ce qui me permit enfin d'admirer dans toute sa splendeur le pape du british blues, John Mayall, accompagné à la guitare par le remarquable Peter Green, remplaçant de Clapton.
Achat du LP Beano et bientôt de The Hard Road et retour en France avec la ferme décision de revenir, mais ce coup-ci, pour bien plus longtemps.
La suite, les fervents lecteurs du blog de Fred la connaissent. Elle vous a été racontée dans mon papier sur le London des sixties-seventies.
Des plus petits groupes jusqu'aux pointures de l'époque, aucun ne m'échappa je pense. Les points d'orgue ?
Le Farewell Concert des Cream, Hendrix ou Joplin au RAH et toutes ces soirées face à Mick Taylor (avec Mayall), Green et ses Fleetwood Mac ou Kossoff et ses Free, sans oublier Led Zep ou Beck...
Retour au bercail obligatoire en 73, la Grande Muette, malgré tous mes sursis d'étudiant, ne m'ayant pas oublié. Un an à perdre mon temps et place à la vie active à Paris depuis 76 (parisien d'adoption je précise).
Un diplôme d'une School of Art londonienne m'ouvrit quelques portes, agrémenté dans la foulée d'une maîtrise en communication (visuelle et surtout écrite) qui m'en ouvrit bien d'autres.
Mes soirées musicales ? Des apparitions au POPB (Bercy pour les intimes) pour applaudir Clapton à chacune de ses venues en France (un concert Blues Tour d'anthologie et un autre avec Winwood de la même veine), et des passages de temps à autre au Bataclan (Bill Wyman) ou à La Scène (Derek Trucks & Tedeschi) entre autres..
A noter ma présence dès sa création sur le site claptonien déjà cité par ifeelfree, aujourd'hui à l'abandon, où j'eus l'opportunité de converser notamment avec un certain godaddict devenu depuis peu le créateur du fantastique site sur lequel vous étiez en train de lire ma prose...
70 piges depuis peu et pas calmé pour autant, il me tarde d'inculquer tout cet acquis à ma petite fille quand elle sera en âge de comprendre cette passion ineffaçable...
Tout d'abord le rythme. Je suis né avec (dommage que mes parents n'aient pas eu le temps de m'expliquer) et peut-être même avec un crayon dans les doigts, remplacé plus tard (occasionnellement) par des baguettes, celles qui tapent sur la caisse-claire ou les toms...
Mes premiers frémissements, vers l'âge de 13-14 ans à l'écoute des Everly Brothers et même de Cliff Richard avec ses Shadows (si, si !). Puis désintéressement total pour les yéyés franchouillards malgré un petit coucou à messieurs Filippachi et Ténot , leurs émissions m'ayant fait découvrir un certain Booker T & the MG's. En passant, merci aussi à un certain Schmoll (Eddy pour les intimes) qui m'aiguilla vers le rock US personnalisé à ses yeux par Gene Vincent.
Et quand je dis rock, je parle du rock des pionniers, pur et dur. Ce fut la période... comment dire ? oui, c'est ça, la plus sauvage (!) de ma modeste existence. Elvis (le déclic avec Jailhouse Rock), Jerry Lee Lewis, Buddy Holly et sa Stratocaster, Eddie Cochran... Un anglais fit passer le message en France à tous les yéyés et aux autres. il s'appelait Vince Taylor.
Une sorte d'envoutement qui perdura jusqu'à une apparition que je qualifierai de divine (n'ayons pas peur des mots) sur les antennes et dans les bacs, celle des Stones, en l'occurrence de leurs premiers 45 tours.
Les Stones certes, mais aussi et surtout tout ce qui tournait autour à savoir les Jimmy Reed, Chuck Berry ou Bob Diddley. Pour moi, une sorte d'entrée par la petite porte dans le monde du rythmn' n' blues et du blues tout court.
Un court séjour en Angleterre en 1965 me permit de découvrir de visu des prétendants au magot déterré par les Stones. Dans l'ordre des dates, les Troggs (bof), les Kinks (pas mal du tout Ray Davies), les Pretty Things (clone et rivaux des Stones à l'époque) ou les Downliner Sect (rythmn'n' blues affirmé).
Une porte ouverte bientôt en grand grâce à une connaissance déjà évoquée ici même, un musicien surnommé Alan Jack, qui m'initia et m'introduisit peu à peu dans l'univers passionnant de la musique du diable. De retour d'Angleterre où à 19 ans il avait eu le privilège de se produire sur scène avec Graham Bond et de cotôyer Alexis Korner et ses amis, il me recommanda un certain Long John Baldry, pianiste-chanteur de blues britannique, qui venait de sortir un LP en France sous le label Barclay.
Second déclic. Muddy Waters, Willie Dixon et bien d'autres, grâce à cet enregistrement, devinrent mes gourous (avec ou sans mojo !).
Puis, il se murmura ici ou là, qu'un drôle de mouvement prenait petit à petit de l'ampleur en Angleterre grâce aux efforts de musiciens passionnés, pour la plupart issus de la bande à Korner, un mouvement ayant pour objectif de cuisiner le blues à la sauce britannique. John Mayall s'y employa le premier et d'innombrables émules ne tardèrent pas à le suivre. Le British Blues Boom était sur les rails de la renommée et y resta sept ou huit bonnes années.
La meilleure solution ? Aller faire un tour dans ce pays béni des dieux pour voir et écouter. Ce que je fis dès 1967 avec quelques amis. Ce qui me permit enfin d'admirer dans toute sa splendeur le pape du british blues, John Mayall, accompagné à la guitare par le remarquable Peter Green, remplaçant de Clapton.
Achat du LP Beano et bientôt de The Hard Road et retour en France avec la ferme décision de revenir, mais ce coup-ci, pour bien plus longtemps.
La suite, les fervents lecteurs du blog de Fred la connaissent. Elle vous a été racontée dans mon papier sur le London des sixties-seventies.
Des plus petits groupes jusqu'aux pointures de l'époque, aucun ne m'échappa je pense. Les points d'orgue ?
Le Farewell Concert des Cream, Hendrix ou Joplin au RAH et toutes ces soirées face à Mick Taylor (avec Mayall), Green et ses Fleetwood Mac ou Kossoff et ses Free, sans oublier Led Zep ou Beck...
Retour au bercail obligatoire en 73, la Grande Muette, malgré tous mes sursis d'étudiant, ne m'ayant pas oublié. Un an à perdre mon temps et place à la vie active à Paris depuis 76 (parisien d'adoption je précise).
Un diplôme d'une School of Art londonienne m'ouvrit quelques portes, agrémenté dans la foulée d'une maîtrise en communication (visuelle et surtout écrite) qui m'en ouvrit bien d'autres.
Mes soirées musicales ? Des apparitions au POPB (Bercy pour les intimes) pour applaudir Clapton à chacune de ses venues en France (un concert Blues Tour d'anthologie et un autre avec Winwood de la même veine), et des passages de temps à autre au Bataclan (Bill Wyman) ou à La Scène (Derek Trucks & Tedeschi) entre autres..
A noter ma présence dès sa création sur le site claptonien déjà cité par ifeelfree, aujourd'hui à l'abandon, où j'eus l'opportunité de converser notamment avec un certain godaddict devenu depuis peu le créateur du fantastique site sur lequel vous étiez en train de lire ma prose...
70 piges depuis peu et pas calmé pour autant, il me tarde d'inculquer tout cet acquis à ma petite fille quand elle sera en âge de comprendre cette passion ineffaçable...
Je ne dirais qu'un mot: Chapeau bas MR Claude.
Et puisque je suis là, j'ai oublié dans ma présentation de parler d'une certaine émission diffusée sur M6 dans les 90 qui s'appelait "Culture Rock" présentée par Christophe Crénel qui m'a fait entre autre découvrir Éric Clapton.
Edité par Ifeelfree Le 05/04/2018 à 16h21
Et puisque je suis là, j'ai oublié dans ma présentation de parler d'une certaine émission diffusée sur M6 dans les 90 qui s'appelait "Culture Rock" présentée par Christophe Crénel qui m'a fait entre autre découvrir Éric Clapton.
Edité par Ifeelfree Le 05/04/2018 à 16h21
De rien mon cher, c'était un plaisir...
Ce qui me fait penser que j'ai oublié de mentionner un autre point d'orgue de ma longue période londonienne de début 1968 à fin 1972 : les tout premiers concerts de King Crimson au Marquee.
Robert Fripp, un inconnu pour moi, un petit bonhomme frisoté à la Hendrix, rencontré par hasard un soir sur le trottoir à quelques encablures de mon petit flat d'Earl's Court, m'encouragea derrière ses lunettes de myope, à venir assister à la première prestation de son groupe au Marquee. Faut dire que j'entendais depuis pas mal de temps des sons quelque peu psychédéliques sortir d'un basement pas très loin de mon antre. Des sons produits par Fripp lui-même, Michael Giles et Greg Lake lors de répétitions improvisées. D'où mes question à Fripp : “C'est vous les musiciens du quartier, c'est quoi votre style, du jazz ?” et donc sa réponse : “Viens nous voir, tu comprendras”...
Chose promise, chose due. Et là, dans la pénombre de mon club préféré, ce fut la claque. Pas une petite, une grande claque. A tel point qu'il me fallut deux autres soirs de suite face à Fripp, trônant sur son tabouret et armé de sa Les Paul, pour enfin comprendre le pourquoi du comment. Un nouveau genre musical venait de naître. Le rock-blues-jazz revisité de fond en comble que les journalistes spécialisés ne tardèrent pas à qualifier de Progressive Rock.
Retrouvailles inattendues avec le père Fripp à Paris en 2015 à l'Olympia. Ce coup-ci flanqué de... trois batteurs en front stage. De gros doutes (encore un délire du pape du Melotron ?) puis un immense soulagement. Grandiose à nouveau. Du bonheur à l'état brut.
Ce qui me fait penser que j'ai oublié de mentionner un autre point d'orgue de ma longue période londonienne de début 1968 à fin 1972 : les tout premiers concerts de King Crimson au Marquee.
Robert Fripp, un inconnu pour moi, un petit bonhomme frisoté à la Hendrix, rencontré par hasard un soir sur le trottoir à quelques encablures de mon petit flat d'Earl's Court, m'encouragea derrière ses lunettes de myope, à venir assister à la première prestation de son groupe au Marquee. Faut dire que j'entendais depuis pas mal de temps des sons quelque peu psychédéliques sortir d'un basement pas très loin de mon antre. Des sons produits par Fripp lui-même, Michael Giles et Greg Lake lors de répétitions improvisées. D'où mes question à Fripp : “C'est vous les musiciens du quartier, c'est quoi votre style, du jazz ?” et donc sa réponse : “Viens nous voir, tu comprendras”...
Chose promise, chose due. Et là, dans la pénombre de mon club préféré, ce fut la claque. Pas une petite, une grande claque. A tel point qu'il me fallut deux autres soirs de suite face à Fripp, trônant sur son tabouret et armé de sa Les Paul, pour enfin comprendre le pourquoi du comment. Un nouveau genre musical venait de naître. Le rock-blues-jazz revisité de fond en comble que les journalistes spécialisés ne tardèrent pas à qualifier de Progressive Rock.
Retrouvailles inattendues avec le père Fripp à Paris en 2015 à l'Olympia. Ce coup-ci flanqué de... trois batteurs en front stage. De gros doutes (encore un délire du pape du Melotron ?) puis un immense soulagement. Grandiose à nouveau. Du bonheur à l'état brut.
Born in Skikda (Philippeville Algérie) in 1951, je suis de la tribu des «Blackfoot » .
Premier contact avec la musique des visages pâles à Béjaïa (Bougie Algérie) par l’intermédiaire des scopitones (Johnny Halliday, Henri Salvador etc….)
Puis en 1962 la « longue marche » enfin en bateau , pas vers le Montana mais vers la réserve située en Lorraine à Metz.
En 1965 mon premier EP les STONES « I can’t get no) satisfaction » , les STONES toujours avec moi depuis ce jour et aussi le plus grand nombre de concerts avec un groupe.
Premier contact avec le Sud Ouest à Metz par le rugby.
Côté musique le POP Club avec José Arthur, découverte du Pink Floyd, de Chicago Transit Authority, Johnny Winter etc…
Premiers LP Otis Redding « The dock of the bay, Ten Years After « Ssssh », Johnny Rivers « Whisky A Go-Go revisited »
Mes premiers concerts à Metz, John Mayall (avec John Mark, Steve Thompson , Johnny Almond), Arthur Brown avec son Crazy Word et « Fire ».
En 1970 changement de réserve, arrivée à Bordeaux, service militaire, 1971 premier emploi qui va durer jusqu’en 2011.
En 1971 rencontre dans mon nouveau club de rugby d’un passionné de musique qui me donne les adresses de disquaires sur Bordeaux, les adresses de vente par correspondance en Angleterre « Tandy’s records », « Cob records » aux USA « Godzilla records ».
Depuis cette date « no surrender » des milliers de 45 tours, vinyles, CD et DVD et aussi concerts:
USA musique West Coast «Jefferson Airplane, Hot Tuna, Grateful Dead , Quicksilver Messenger Service, It’s a beautiful day etc… country, folk etc… sans oublier J.J. Cale découvert avant l’interprétation d’un certain Eric Clapton.
Côte est : Velvet Underground, MC5, Patti Smith, Television, Elliott Murphy, Bruce Springsteen etc…
UK les STONES évidemment, les KINKS (une autre passion), les Who, Small Faces, Pretty Things, John Mayall, Creation, Action, Fleurs de Lys, les groupes Mods, folk « Fairport Convention » « Steeleye Span » etc...
La musique Irlandaise, africaine etc.. mais je vais être trop long !!!!
Mes guitaristes préférés : Jorma Kaukonen, Jerry Garcia, John Cipollina, Jimi Hendrix, Terry Kath, Mick Taylor.
Concernant ce site, préférence pour les périodes Yardbirds, John Mayall , Cream, Blind Faith, Delaney & Bonnie, Derek & the Dominoes.
Vu une seule fois Eric Clapton le 29 novembre 2012 au « London O2 arena » jouant devinez quoi et avec qui « Champagne and reefer » avec le groupe de mon premier EP les « ROLLING STONES » présents ce soir là Bill Wyman et Mick Taylor.
« Cherry on the cake » Mick Taylor en concert le lendemain 30 novembre au Cadogan Hall.
Je ne suis donc pas un "inconditionnel" (ce n'est pas un gros mot) de Clapton !!!
Passions : la musique, le rugby, les polars, le cinéma, les voyages...
A+
The Hooker (numéro 2 au rugby, le talonneur)
Premier contact avec la musique des visages pâles à Béjaïa (Bougie Algérie) par l’intermédiaire des scopitones (Johnny Halliday, Henri Salvador etc….)
Puis en 1962 la « longue marche » enfin en bateau , pas vers le Montana mais vers la réserve située en Lorraine à Metz.
En 1965 mon premier EP les STONES « I can’t get no) satisfaction » , les STONES toujours avec moi depuis ce jour et aussi le plus grand nombre de concerts avec un groupe.
Premier contact avec le Sud Ouest à Metz par le rugby.
Côté musique le POP Club avec José Arthur, découverte du Pink Floyd, de Chicago Transit Authority, Johnny Winter etc…
Premiers LP Otis Redding « The dock of the bay, Ten Years After « Ssssh », Johnny Rivers « Whisky A Go-Go revisited »
Mes premiers concerts à Metz, John Mayall (avec John Mark, Steve Thompson , Johnny Almond), Arthur Brown avec son Crazy Word et « Fire ».
En 1970 changement de réserve, arrivée à Bordeaux, service militaire, 1971 premier emploi qui va durer jusqu’en 2011.
En 1971 rencontre dans mon nouveau club de rugby d’un passionné de musique qui me donne les adresses de disquaires sur Bordeaux, les adresses de vente par correspondance en Angleterre « Tandy’s records », « Cob records » aux USA « Godzilla records ».
Depuis cette date « no surrender » des milliers de 45 tours, vinyles, CD et DVD et aussi concerts:
USA musique West Coast «Jefferson Airplane, Hot Tuna, Grateful Dead , Quicksilver Messenger Service, It’s a beautiful day etc… country, folk etc… sans oublier J.J. Cale découvert avant l’interprétation d’un certain Eric Clapton.
Côte est : Velvet Underground, MC5, Patti Smith, Television, Elliott Murphy, Bruce Springsteen etc…
UK les STONES évidemment, les KINKS (une autre passion), les Who, Small Faces, Pretty Things, John Mayall, Creation, Action, Fleurs de Lys, les groupes Mods, folk « Fairport Convention » « Steeleye Span » etc...
La musique Irlandaise, africaine etc.. mais je vais être trop long !!!!
Mes guitaristes préférés : Jorma Kaukonen, Jerry Garcia, John Cipollina, Jimi Hendrix, Terry Kath, Mick Taylor.
Concernant ce site, préférence pour les périodes Yardbirds, John Mayall , Cream, Blind Faith, Delaney & Bonnie, Derek & the Dominoes.
Vu une seule fois Eric Clapton le 29 novembre 2012 au « London O2 arena » jouant devinez quoi et avec qui « Champagne and reefer » avec le groupe de mon premier EP les « ROLLING STONES » présents ce soir là Bill Wyman et Mick Taylor.
« Cherry on the cake » Mick Taylor en concert le lendemain 30 novembre au Cadogan Hall.
Je ne suis donc pas un "inconditionnel" (ce n'est pas un gros mot) de Clapton !!!
Passions : la musique, le rugby, les polars, le cinéma, les voyages...
A+
The Hooker (numéro 2 au rugby, le talonneur)
Ravi de m'apercevoir que nous avons pas mal de points communs The Hooker (Mick Taylor, Cream, Delaney & Bonnie, Dominos, Mayall évidemment, les Faces - surtout avec Rod stewart en ce qui me concerne - les Kinks et là, je suis étonné que tu les cites, les Pretty Things car en général ils figurent dans le registre "inconnus au bataillon”, et... les polars).
Quant au rugby (j'ai abandonné il y a fort longtemps, après la terminale au lycée - trois-quart - mais ce fut une belle histoire de famille durant mon enfance).
Au plaisir donc de lire la prose du talonneur en chef...
Quant au rugby (j'ai abandonné il y a fort longtemps, après la terminale au lycée - trois-quart - mais ce fut une belle histoire de famille durant mon enfance).
Au plaisir donc de lire la prose du talonneur en chef...
Et oui Claude !
Les Kinks mon autre passion avec et non pas après les Rolling Stones.
Leurs disques, coffrets etc. depuis leurs débuts.
Ray Davies et ses superbes chansons sur l'Empire britannique.
Malheureusement trop peu vu en concerts seulement à la fête de l'Huma en 1974 également en
novembre 1974 au Felt Forum (la petite salle du Madison Square Garden) à New York.
Ray Davies à l'Olympia le 31 octobre 2010.
Les Pretty Things (encore un rapport avec mon autre passion) à la guitare Dick Taylor le premier bassiste des Stones.
Jack Bruce & Mick Taylor à Bordeaux en avril 1975. Oui nous nous rapprochons du site de Jean-Claude
un Cream et un Stones.
A+
Les Kinks mon autre passion avec et non pas après les Rolling Stones.
Leurs disques, coffrets etc. depuis leurs débuts.
Ray Davies et ses superbes chansons sur l'Empire britannique.
Malheureusement trop peu vu en concerts seulement à la fête de l'Huma en 1974 également en
novembre 1974 au Felt Forum (la petite salle du Madison Square Garden) à New York.
Ray Davies à l'Olympia le 31 octobre 2010.
Les Pretty Things (encore un rapport avec mon autre passion) à la guitare Dick Taylor le premier bassiste des Stones.
Jack Bruce & Mick Taylor à Bordeaux en avril 1975. Oui nous nous rapprochons du site de Jean-Claude
un Cream et un Stones.
A+
Je suis né dans la banlieue bordelaise le même jour que le chanteur Yves Duteil, il est devenu célèbre, pas moi! Nous avons épousé des jeunes femmes qui portaient le même non de famille. J'ai eu un garçon et une fille qui a eu une fille et un garçon qui me ravissent.
Au début des années soixante la scène musicale française me convenait par le fait que je ne connaissais rien d'autre. Brassens, Brel, Montand ou les orchestrations de l'Orchestre de Ray Ventura m'éveillaient à la musique. A la radio de temps en temps on entendait les rockers américains pour moi c'était pas mal sans plus. Je préférais "In the Mood" de Glenn Miller ou Dean Martin et Frank Sinatra. Au cinéma dans les westerns les cow-boys avec guitare et harmonica chantaient autour d'un feu de camp. Il y avait donc des musiques encore mieux que celles de mon quotidien "Ils sont forts ces américains, ils ont libéré l'Europe et ils font une musique formidable. Mais c'est loin l'Amérique et je comprends rien à ce qu'ils chantent"
Puis le Beatles sont arrivés, si il n'y avait eu que moi ils seraient resté à Liverpool. Love me do et Can't buy my love plaisaient aux filles mais me gavaient grave pour parler jeun's.
Ces gars qui prétendaient avoir été influencés par les rockers des années cinquante ne le traduisaient pas dans leur musique, leurs coupes de cheveux à la Mireille Mathieu et leurs costumes à col rond de premier communiant.
Par contre la première fois que j'ai entendu les Stones j'ai su que j'avais trouvé le groupe qui me convenait. Je ne savais pas encore que le non du groupe était tiré d'un titre du bluesman Muddy Waters. D'ailleurs je ne pouvais pas le savoir je ne savais pas qui était M.Waters, pas plus que le Blues.
Mon intérêt pour la musique et particulièrement pour les guitaristes est parti de là I'm a king bee (Slim Harpo) I want to Be Loved (Willie Dixon) Dés lors j'ai acheté tout ce qui sonnait Blues avec une nette accélération sur les rééditions à l'avènement du Compact Disc. Le Chicago Blues a ma préférence.
A la même période un ami m'a fait découvrir un EP des Yardbirds. Je n'aimait pas la voix du chanteur, le guitariste était pas mal et les titres pas Blues du tout, donc retour à l'envoyeur aussi sec. Deux jours plus tard j'aurais été incapable de dire qui était à la guitare.
Aujourd'hui je considère Clapton comme le meilleur guitariste vivant. Il faut bien dire qu'il a la voie royale, Hendrix, S.R. Vaughan, P.Kossoff, J.Garcia, B.B.King disparus, Peter Green diminué et Mick Taylor je dirai en pré retraite.
Après l'épisode Yardbirds je suis revenu à Clapton par le Blues, Mes deux titres préférés "Double Trouble" et " Five Long Years" Mes disques indispensables si je n'ai droit qu'à deux "From The Cradle" et "Riding With The King"
Pendant que E.C faisait des maquettes d'avions à Hurtwood Edge et vendait ses voitures et ses guitares pour se payer sa dope j'ai beaucoup écouté Pink Floyd, j'apprécie le jeux de Gilmour.
Voilà pour la musique, sur le plan personnel après des études en électronique j'ai travaillé chez Phillips, d'où je me suis rapidement évadé..
Après une courte période dans l'imagerie médicale balbutiante et comme l'électronique mène à tout j 'ai été embauché dans une grande major pétrolière américaine pensant que cela ferait bouillir la marmite en attendant mieux. Je n'ai jamais fait d'électronique dans cette entreprise où j'ai exercé différents postes dans différentes raffineries et j'étais vraiment passionné par ce que je faisais.
Par discrétion ou par défaillance de sa mémoire due à son grand âge I feel free n'a pas écrit qu'il m'a offert une Les Paul dont je n'ai jamais tiré la moindre note
Dans une vie antérieure la première fois que j'ai lu Claude j'ai pensé avoir affaire à un journaliste spécialisé en musique. J'avais tout faux, il n'en a encore que plus de mérite n'en ayant pas eu la formation. Le lire est toujours très plaisant et je sais que je partage largement cet avis.
Tayane va dire que les Daltons sont de retour, que les fleurs ne sont pas chères etc, etc.
A mon âge maintenant je ne me prive plus de toujours dire ce que je pense lorsque c'est positif.
Tayane, comme Ifeelfree tu as eu l'honnêteté de dire que tu as découvert Clapton sur le tard et j'apprécie.
J'ai connu des prétendus fans de longue date qui en réalité ne connaissaient Clapton que sur YouTube ou par quelques disques empruntés ici ou là.
On est toujours le vieux briscard ou le bleu de quelqu'un et on peut aussi être le vieux briscard d'un bleu qui sera notre vieux briscard dans un autre domaine.
Exemple: Pas plus tard que mercredi dernier Fred et the hooker se sont rencontré chez moi.
Je me suis senti un bleu à les écouter disserter sur tel ou tel artiste absolument méconnu de moi. Leurs connaissances cumulées des galaxies musicales pourrait alimenter la bibliothèque nationale. Leurs collections de galettes de tous formats ferait le bonheur de quelques médiathèques municipales. Thidup que je ne connais pas bien me semble du même acabit. Si j'avais la totalité des sommes engagés dans des concerts par cette triplette je serai riche.
J'ai connu Fred par l'intermédiaire du blog qu'il a créé à la lecture duquel je comble régulièrement mes lacunes.
Toerag, alors là encore on est sur du lourd. Un pinailleur, un méticuleux, organisé pour répertorier chaque morceau joué par Clapton, où et avec qui. Nous avons croisé et partagé les résultats de nos recherches chronophages qui ne seront jamais terminés.
Mes concerts.
Rory Gallagher sous chapiteau au Parc des Expositions à Bordeaux.
Les Stones au Parc des Princes
Au Havre; J.Mayall, Moon Martin, Calvin Russell et Magic Sam que j'ai rencontré dans sa loge, tout le groupe m'a dédicacé un CD.
Au Zénith de Caen Calvin Russell, concert annulé il avait passé l'après midi à tester différent Calvados.
Patrick Verbeke et Bernard Allison au Zénith de Caen
Jean-Jacques Milteau à Aix en Provence
Les Pretty Things à Eysines avec the hooker
Elliot Murphy à Bruges (France) avec the hooker, nous avons pu lui parler et in m'a dédicacé un CD.
Lucky Peterson à Eysines avec Fred
Clapton, Paris x4, Londres x5, Monaco, Anvers
Paris, une fois avec Toerag
Londres, une fois avec Ifeelfree, une fois avec Fred, deux fois avec Toerag
Au début des années soixante la scène musicale française me convenait par le fait que je ne connaissais rien d'autre. Brassens, Brel, Montand ou les orchestrations de l'Orchestre de Ray Ventura m'éveillaient à la musique. A la radio de temps en temps on entendait les rockers américains pour moi c'était pas mal sans plus. Je préférais "In the Mood" de Glenn Miller ou Dean Martin et Frank Sinatra. Au cinéma dans les westerns les cow-boys avec guitare et harmonica chantaient autour d'un feu de camp. Il y avait donc des musiques encore mieux que celles de mon quotidien "Ils sont forts ces américains, ils ont libéré l'Europe et ils font une musique formidable. Mais c'est loin l'Amérique et je comprends rien à ce qu'ils chantent"
Puis le Beatles sont arrivés, si il n'y avait eu que moi ils seraient resté à Liverpool. Love me do et Can't buy my love plaisaient aux filles mais me gavaient grave pour parler jeun's.
Ces gars qui prétendaient avoir été influencés par les rockers des années cinquante ne le traduisaient pas dans leur musique, leurs coupes de cheveux à la Mireille Mathieu et leurs costumes à col rond de premier communiant.
Par contre la première fois que j'ai entendu les Stones j'ai su que j'avais trouvé le groupe qui me convenait. Je ne savais pas encore que le non du groupe était tiré d'un titre du bluesman Muddy Waters. D'ailleurs je ne pouvais pas le savoir je ne savais pas qui était M.Waters, pas plus que le Blues.
Mon intérêt pour la musique et particulièrement pour les guitaristes est parti de là I'm a king bee (Slim Harpo) I want to Be Loved (Willie Dixon) Dés lors j'ai acheté tout ce qui sonnait Blues avec une nette accélération sur les rééditions à l'avènement du Compact Disc. Le Chicago Blues a ma préférence.
A la même période un ami m'a fait découvrir un EP des Yardbirds. Je n'aimait pas la voix du chanteur, le guitariste était pas mal et les titres pas Blues du tout, donc retour à l'envoyeur aussi sec. Deux jours plus tard j'aurais été incapable de dire qui était à la guitare.
Aujourd'hui je considère Clapton comme le meilleur guitariste vivant. Il faut bien dire qu'il a la voie royale, Hendrix, S.R. Vaughan, P.Kossoff, J.Garcia, B.B.King disparus, Peter Green diminué et Mick Taylor je dirai en pré retraite.
Après l'épisode Yardbirds je suis revenu à Clapton par le Blues, Mes deux titres préférés "Double Trouble" et " Five Long Years" Mes disques indispensables si je n'ai droit qu'à deux "From The Cradle" et "Riding With The King"
Pendant que E.C faisait des maquettes d'avions à Hurtwood Edge et vendait ses voitures et ses guitares pour se payer sa dope j'ai beaucoup écouté Pink Floyd, j'apprécie le jeux de Gilmour.
Voilà pour la musique, sur le plan personnel après des études en électronique j'ai travaillé chez Phillips, d'où je me suis rapidement évadé..
Après une courte période dans l'imagerie médicale balbutiante et comme l'électronique mène à tout j 'ai été embauché dans une grande major pétrolière américaine pensant que cela ferait bouillir la marmite en attendant mieux. Je n'ai jamais fait d'électronique dans cette entreprise où j'ai exercé différents postes dans différentes raffineries et j'étais vraiment passionné par ce que je faisais.
Par discrétion ou par défaillance de sa mémoire due à son grand âge I feel free n'a pas écrit qu'il m'a offert une Les Paul dont je n'ai jamais tiré la moindre note
Dans une vie antérieure la première fois que j'ai lu Claude j'ai pensé avoir affaire à un journaliste spécialisé en musique. J'avais tout faux, il n'en a encore que plus de mérite n'en ayant pas eu la formation. Le lire est toujours très plaisant et je sais que je partage largement cet avis.
Tayane va dire que les Daltons sont de retour, que les fleurs ne sont pas chères etc, etc.
A mon âge maintenant je ne me prive plus de toujours dire ce que je pense lorsque c'est positif.
Tayane, comme Ifeelfree tu as eu l'honnêteté de dire que tu as découvert Clapton sur le tard et j'apprécie.
J'ai connu des prétendus fans de longue date qui en réalité ne connaissaient Clapton que sur YouTube ou par quelques disques empruntés ici ou là.
On est toujours le vieux briscard ou le bleu de quelqu'un et on peut aussi être le vieux briscard d'un bleu qui sera notre vieux briscard dans un autre domaine.
Exemple: Pas plus tard que mercredi dernier Fred et the hooker se sont rencontré chez moi.
Je me suis senti un bleu à les écouter disserter sur tel ou tel artiste absolument méconnu de moi. Leurs connaissances cumulées des galaxies musicales pourrait alimenter la bibliothèque nationale. Leurs collections de galettes de tous formats ferait le bonheur de quelques médiathèques municipales. Thidup que je ne connais pas bien me semble du même acabit. Si j'avais la totalité des sommes engagés dans des concerts par cette triplette je serai riche.
J'ai connu Fred par l'intermédiaire du blog qu'il a créé à la lecture duquel je comble régulièrement mes lacunes.
Toerag, alors là encore on est sur du lourd. Un pinailleur, un méticuleux, organisé pour répertorier chaque morceau joué par Clapton, où et avec qui. Nous avons croisé et partagé les résultats de nos recherches chronophages qui ne seront jamais terminés.
Mes concerts.
Rory Gallagher sous chapiteau au Parc des Expositions à Bordeaux.
Les Stones au Parc des Princes
Au Havre; J.Mayall, Moon Martin, Calvin Russell et Magic Sam que j'ai rencontré dans sa loge, tout le groupe m'a dédicacé un CD.
Au Zénith de Caen Calvin Russell, concert annulé il avait passé l'après midi à tester différent Calvados.
Patrick Verbeke et Bernard Allison au Zénith de Caen
Jean-Jacques Milteau à Aix en Provence
Les Pretty Things à Eysines avec the hooker
Elliot Murphy à Bruges (France) avec the hooker, nous avons pu lui parler et in m'a dédicacé un CD.
Lucky Peterson à Eysines avec Fred
Clapton, Paris x4, Londres x5, Monaco, Anvers
Paris, une fois avec Toerag
Londres, une fois avec Ifeelfree, une fois avec Fred, deux fois avec Toerag
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